Réagissant à une mise en garde lancée par le Hezbollah, dimanche dernier, un ministre israélien a accusé hier le parti de Dieu « de se servir d’une question humanitaire pour exercer un chantage », en se menaçant d’enlever de nouveaux militaires israéliens.
Dimanche, sayyed Hassan Nasrallah, secrétaire général du Hezbollah, avait indiqué qu’il donne une dernière chance à la négociation pour un échange de prisonniers entre sa formation et l’État hébreu, affirmant : « Si celle-ci n’est pas saisie, nous considérerons que le nombre de prisonniers israéliens que nous détenons n’est pas suffisant et nous œuvrerons à en augmenter le nombre. »
Cet avertissement n’a suscité aucune réaction à Beyrouth ou dans les milieux diplomatiques allemands qui jouent le rôle d’intermédiaires dans ce dossier.
Une vingtaine de Libanais sont détenus en Israël, rappelle-t-on.
Réagissant à une mise en garde lancée par le Hezbollah, dimanche dernier, un ministre israélien a accusé hier le parti de Dieu « de se servir d’une question humanitaire pour exercer un chantage », en se menaçant d’enlever de nouveaux militaires israéliens.Dimanche, sayyed Hassan Nasrallah, secrétaire général du Hezbollah, avait indiqué qu’il donne une dernière...
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