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Actualités

Contestations du ministère de l’Intérieur


Dans un communiqué qui nous a été adressé hier, le bureau de presse du ministère de l’Intérieur a tenu à répondre à l’article « Hara-kiri » publié dans L’Orient-Le Jour du mardi 28 juillet 2003. En contestant d’abord le fait que le chef des services de renseignements syriens au Liban ait demandé à Élias Murr d’agir en ministre de l’Intérieur plutôt qu’en fils de son père. « Aucun responsable syrien n’est entré en contact avec le ministre Élias Murr suite à l’incident de Bteghrine. Le “dit-on” de M. Ziyad Makhoul révèle la légèreté de l’affirmation et ne peut constituer une référence solide pour un journaliste qui devrait être soucieux de donner de la crédibilité à ses écrits », affirme le communiqué. Qui rappelle en outre que les mesures engagées par le ministre de l’Intérieur, ainsi que ses prises de position « fermes, ne pourraient prêter à aucune équivoque et traduisent ses convictions dans la gestion de la chose publique ».

En remerciant le bureau de presse du ministère de l’Intérieur pour ses conseils avisés en journalisme, nous tenons à rappeler que les propos attribués à Rustom Ghazalé à l’adresse d’Élias Murr, ou d’autres, sont de notoriété publique, et qu’ils n’ont pas manqué, ces trois derniers jours, d’être rapportés off the record par l’ensemble de la classe politique, loyaliste comme opposante. Cela sans compter l’expérience vieille de plusieurs dizaines d’années, et qui a montré à quel point les dirigeants libanais, quel que soit leur poste, sont, eux aussi, sensibles aux conseils – avisés ou pas – de leurs tuteurs syriens.
Z.M.
Dans un communiqué qui nous a été adressé hier, le bureau de presse du ministère de l’Intérieur a tenu à répondre à l’article « Hara-kiri » publié dans L’Orient-Le Jour du mardi 28 juillet 2003. En contestant d’abord le fait que le chef des services de renseignements syriens au Liban ait demandé à Élias Murr d’agir en ministre de l’Intérieur plutôt qu’en...