L’obstination d’Ariel Sharon a fini par avoir raison des timides réserves de George Bush concernant la « clôture de sécurité » édifiée par Israël en Cisjordanie. Devant le président américain sur le perron de la Maison-Blanche, le Premier ministre israélien a affirmé que la construction du mur – qualifiée par Bush de « problème » – allait se poursuivre malgré les protestations de la communauté internationale, mais que « tous les efforts seront faits pour minimiser les conséquences sur la vie quotidienne de la population palestinienne ».
Le chef de l’Exécutif US s’est contenté, pour sa part, d’espérer qu’en combattant les radicaux et le terrorisme, « à long terme la clôture sera inutile ».
Réactions dépitées des Palestiniens qui ont répété que le « mur de la honte » était un grave obstacle à la mise en œuvre de la « feuille de route ». Plus menaçant, le Hamas a prédit « un impact négatif sur la poursuite de la trêve » de trois mois acceptée par les radicaux palestiniens.
Le chef de l’Exécutif US s’est contenté, pour sa part, d’espérer qu’en combattant les radicaux et le terrorisme, « à long terme la clôture sera inutile ».
Réactions dépitées des Palestiniens qui ont répété que le « mur de la honte » était un grave obstacle à la mise en œuvre de la « feuille de route ». Plus menaçant, le Hamas a prédit « un impact négatif sur la poursuite de la trêve » de trois mois acceptée par les radicaux palestiniens.
L’obstination d’Ariel Sharon a fini par avoir raison des timides réserves de George Bush concernant la « clôture de sécurité » édifiée par Israël en Cisjordanie. Devant le président américain sur le perron de la Maison-Blanche, le Premier ministre israélien a affirmé que la construction du mur – qualifiée par Bush de « problème » – allait se poursuivre malgré...
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