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Biens-fonds fluviaux Poursuite des démolitions au Akkar

Les contacts entrepris dès lundi par les propriétaires d’édifices illégalement construits sur les rives du Nahr el-Kébir n’ont finalement pas abouti, l’armée leur ayant accordé jusqu’à hier matin, à 8 heures, pour évacuer leurs maisons ou magasins.
Entre-temps, les habitants de Hekr el-Daheri et de Maasoudieh, deux bourgades du Akkar riveraines du Nahr el-Kébir, s’étaient empressés de vider les locaux, emportant leurs effets personnels et démontant portes et fenêtres des appartements voués à la démolition.
En fait, au nombre des six édifices et des quinze magasins démolis, figure une aile du domicile de l’ancien député Ali Eid, construite illégalement sur la rive du fleuve.
L’opération s’est déroulée sous la supervision du commandant de la 9e brigade, le général Ibrahim Mansour, et en présence du moukhtar de Hekr el-Daheri, Ali Aziz Ali, et des habitants de la bourgade qui ont qualifié d’« injuste » la décision du Conseil des ministres de démolir leurs maisons, « construites il y a plus de vingt ans ».
Les opérations de démolition des édifices illégaux se poursuivront dans les jours à venir dans la région comprise entre Arida, à la frontière libano-syrienne, et Wadi Khaled, soit sur une distance de près de 56 kilomètres.
Les contacts entrepris dès lundi par les propriétaires d’édifices illégalement construits sur les rives du Nahr el-Kébir n’ont finalement pas abouti, l’armée leur ayant accordé jusqu’à hier matin, à 8 heures, pour évacuer leurs maisons ou magasins.Entre-temps, les habitants de Hekr el-Daheri et de Maasoudieh, deux bourgades du Akkar riveraines du Nahr el-Kébir,...