La jeune fille devait rapidement trouver un travail rémunérateur dans un restaurant de la capitale, mais son père s’y est opposé, la forçant à abandonner son emploi.
Fuyant son père qui l’obligeait à entretenir avec lui des rapports contre nature, Samia s’est alors enfuie à Tripoli où elle n’a pas tardé à se faire embaucher comme vendeuse dans un magasin de prêt-à-porter.
Mais Mohammed ne devait pas tarder à la retrouver, pour aussitôt la « vendre » à un ressortissant saoudien en quête de chair fraîche qui en a « pris livraison » dans un hôtel, payant au père dénaturé le « prix » de sa fille.
Le juge d’instruction du Mont-Liban, Faouzi Adham, a déféré Barghoud, qui encourt une peine de travaux forcés à terme, devant la cour pénale du Mont-Liban.
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