Actrice à la réputation établie par le cinéma, la Britannique Charlotte Rampling fait actuellement ses débuts sur les planches parisiennes au théâtre Edouard VII dans une comédie tragique sur le couple, Petits crimes conjugaux, signée Eric-Emmanuel Schmitt.
Charlotte Rampling a dû surmonter la double difficulté de manier avec précision le style très littéraire de l’écrivain normalien d’une part et de pouvoir se lancer dans les longues tirades avec un naturel confondant, dans une langue qui n’est pas la sienne.
Son unique partenaire Bernard Giraudeau doit faire face à la même difficulté, même si le français est sa langue maternelle, ce qui ne diminue en rien ses mérites.
Petits crimes conjugaux (publiée aux éditions Albin Michel) est la huitième pièce de Eric-Emmnanuel Schmitt.
« Dans cette scène unique entre un homme et une femme, explique le dramaturge, les coups de théâtre visent à explorer une question : comment vivre longtemps ensemble ? Le temps est-il l’allié ou l’ennemi des histoires d’amour ? Un long mariage est-il un mariage heureux ? »
Pour répondre à ces questions, Eric-Emmnanuel Schmitt a imaginé une intrigue qui maintient l’attention du public. L’homme est victime d’un mystérieux accident qui le rend amnésique. De retour chez lui auprès de sa femme depuis 15 ans, il tente de recomposer son existence, à partir de ce qu’elle raconte, jusqu’à ce que le doute s’installe : dit-elle la vérité ?
Dans un décor de Nicolas Sire (le living-room tapissé de livres d’un écrivain auteur de romans policiers), Bernard Murat a mis en scène cette comédie qui vire progressivement au noir où « le marivaudage, dit-il, alterne avec la guerre totale ».
Charlotte Rampling a dû surmonter la double difficulté de manier avec précision le style très littéraire de l’écrivain normalien d’une part et de pouvoir se lancer dans les longues tirades avec un naturel confondant, dans une langue qui n’est pas la sienne.
Son unique partenaire Bernard Giraudeau doit faire face à la même difficulté, même si le français est sa langue maternelle, ce qui ne diminue en rien ses mérites.
Petits crimes conjugaux (publiée aux éditions Albin Michel) est la huitième pièce de Eric-Emmnanuel Schmitt.
« Dans cette scène unique entre un homme et une femme, explique le dramaturge, les coups de théâtre visent à explorer une question : comment vivre longtemps ensemble ? Le temps est-il l’allié ou l’ennemi des histoires d’amour ? Un long mariage est-il un mariage heureux ? »
Pour répondre à ces questions, Eric-Emmnanuel Schmitt a imaginé une intrigue qui maintient l’attention du public. L’homme est victime d’un mystérieux accident qui le rend amnésique. De retour chez lui auprès de sa femme depuis 15 ans, il tente de recomposer son existence, à partir de ce qu’elle raconte, jusqu’à ce que le doute s’installe : dit-elle la vérité ?
Dans un décor de Nicolas Sire (le living-room tapissé de livres d’un écrivain auteur de romans policiers), Bernard Murat a mis en scène cette comédie qui vire progressivement au noir où « le marivaudage, dit-il, alterne avec la guerre totale ».
Actrice à la réputation établie par le cinéma, la Britannique Charlotte Rampling fait actuellement ses débuts sur les planches parisiennes au théâtre Edouard VII dans une comédie tragique sur le couple, Petits crimes conjugaux, signée Eric-Emmanuel Schmitt. Charlotte Rampling a dû surmonter la double difficulté de manier avec précision le style très littéraire de...
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