Au lendemain de l’attentat meurtrier à la voiture piégée devant l’ambassade de Jordanie à Bagdad, les enquêteurs américains et irakiens étaient confrontés à plusieurs pistes possibles dans une ville où prolifèrent vieilles rancunes et haines envers les alliés des États-Unis. La liste des mobiles est aussi longue que celle des suspects : des paramilitaires partisans de l’ex-dictateur Saddam Hussein à d’anciens opposants à couteaux tirés avec la Jordanie, en passant par une nébuleuse de mouvements islamistes radicaux.
Par ailleurs, la Maison-Blanche a indiqué hier qu’un responsable d’el-Qaëda, aujourd’hui arrêté, avait admis que l’organisation terroriste d’Oussama Ben Laden avait reçu une aide du régime irakien déchu de Saddam Hussein en matière d’armes chimiques et biologiques.
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Par ailleurs, la Maison-Blanche a indiqué hier qu’un responsable d’el-Qaëda, aujourd’hui arrêté, avait admis que l’organisation terroriste d’Oussama Ben Laden avait reçu une aide du régime irakien déchu de Saddam Hussein en matière d’armes chimiques et biologiques.
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Au lendemain de l’attentat meurtrier à la voiture piégée devant l’ambassade de Jordanie à Bagdad, les enquêteurs américains et irakiens étaient confrontés à plusieurs pistes possibles dans une ville où prolifèrent vieilles rancunes et haines envers les alliés des États-Unis. La liste des mobiles est aussi longue que celle des suspects : des paramilitaires partisans de...
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