Il ne s’agit que d’une proposition. Mais elle a quand même fait l’effet d’une bombe dans les différents milieux politiques, économiques et syndicaux. La suggestion du Premier ministre, Rafic Hariri, d’augmenter le taux de la TVA de 10 à 16 pour cent en contrepartie de l’abolition de treize impôts, dont notamment les impôts sur les revenus et sur la succession, a suscité des réactions globalement négatives. Deux ténors de l’opposition, Hussein Husseini et Sélim Hoss, se sont élevés contre un tel projet, affirmant qu’il porterait préjudice aux classes moyennes et aux couches défavorisées de la population. Au plan économique, le patronat et les commerçants se montrent hostiles à la proposition, alors que la CGTL paraît adopter une attitude mitigée.
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Il ne s’agit que d’une proposition. Mais elle a quand même fait l’effet d’une bombe dans les différents milieux politiques, économiques et syndicaux. La suggestion du Premier ministre, Rafic Hariri, d’augmenter le taux de la TVA de 10 à 16 pour cent en contrepartie de l’abolition de treize impôts, dont notamment les impôts sur les revenus et sur la succession, a...
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