Les problèmes socio-économiques et écologiques les plus pressants - tels que l’exploitation des carrières ou l’organisation du ramassage des ordures - ont été relégués hier au second plan, lors de la réunion du Conseil des ministres présidée par le chef de l’État, le général Émile Lahoud. En effet, la partielle à Baabda-Aley ainsi que l’intervention du général Michel Aoun, mercredi, devant la Chambre des représentants à Washington, ont pris le pas sur tous les autres dossiers.
Concernant le scrutin de dimanche, les participants se sont inquiétés surtout du fort taux d’abstention.
De son côté, le président de la République a condamné (sans le nommer) le général Aoun qui, selon lui, a accepté d’être l’instrument d’une propagande hostile à son pays. Le porte-parole du Conseil des ministres a toutefois indiqué qu’il n’avait pas été question de prendre des mesures contre Michel Aoun.
Les problèmes socio-économiques et écologiques les plus pressants - tels que l’exploitation des carrières ou l’organisation du ramassage des ordures - ont été relégués hier au second plan, lors de la réunion du Conseil des ministres présidée par le chef de l’État, le général Émile Lahoud. En effet, la partielle à Baabda-Aley ainsi que l’intervention du général...
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