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Sécurité - Méprise d’un repris de justice ? Un convoi de l’ambassade des États-Unis aurait essuyé des tirs près de Baalbeck

Le convoi de l’attaché militaire américain au Liban, le lieutenant colonel Norman Larson, a essuyé hier au carrefour de Nabi Chit, près de Baalbeck, des tirs qui ne l’ont pas atteint, a indiqué un porte-parole de l’ambassade.
Mais selon une source militaire, les membres du convoi n’ont pu qu’entendre des coups de feu, tirés à deux kilomètres de là, et qui en aucun cas ne les visaient.
« Un convoi de notre ambassade a essuyé des tirs qui n’ont atteint aucune de ses voitures, dans la région de Baalbeck », a indiqué le porte-parole de l’ambassade. « Apparemment, le convoi n’était pas particulièrement visé par les tirs », a-t-il ajouté.
De source militaire, on a indiqué que « le convoi de l’attaché militaire américain (avait) entendu des coups de feu tirés à deux kilomètres de là (...) par un repris de justice libanais en fuite ».
« Le convoi américain s’est alors arrêté pour s’enquérir de la situation en entrant en contact avec l’armée libanaise », a-t-on précisé, indiquant que « le convoi avait poursuivi son chemin en direction de Rayack, après avoir été informé par l’armée sur l’origine des tirs ».
Cette mise au point de l’armée dément catégoriquement les dires de témoins ayant affirmé que les gardes du corps du convoi avaient échangé des tirs avec un repris de justice en fuite, qui avait pris ledit convoi pour une patrouille de la police libanaise.
Selon ces témoins, le repris de justice, qui se trouvait à bord d’une voiture, avait tiré une trentaine de balles en direction du convoi américain, ce à quoi les gardes du corps américains avaient riposté, touchant la voiture de l’assaillant.
Le convoi de l’attaché militaire américain au Liban, le lieutenant colonel Norman Larson, a essuyé hier au carrefour de Nabi Chit, près de Baalbeck, des tirs qui ne l’ont pas atteint, a indiqué un porte-parole de l’ambassade.Mais selon une source militaire, les membres du convoi n’ont pu qu’entendre des coups de feu, tirés à deux kilomètres de là, et qui en aucun cas...