George W. s’est ainsi employé à défendre ses stratégies en affirmant que l’Irak est désormais « le front principal de la lutte contre le terrorisme ».
Le président US a aussi explicité les raisons pour lesquelles il a décidé de se tourner vers l’Onu afin d’obtenir le concours de la communauté internationale à la reconstruction irakienne.
« L’Onu a la responsabilité d’assumer un rôle plus large en Irak pour faire en sorte qu’un régime démocratique soit instauré dans ce pays », a déclaré le président US.
Peu avant le discours présidentiel, le secrétaire d’État Colin Powell et la conseillère pour la Sécurité nationale Condoleezza Rice avaient réaffirmé la volonté US d’obtenir davantage de contributions étrangères, en troupes et en argent.
Sur le plan sécuritaire, la coalition américano-britannique a donné hier aux milices chiites jusqu’à samedi prochain pour désarmer dans les villes du centre de l’Irak, et cet ultimatum a été rejeté par au moins l’une des milices.
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