Dans une lettre ouverte aux autorités, et dont une copie a été adressée à la presse, le frère de la victime, Nazih, a indiqué que le ministère des Affaires étrangères n’a informé la famille de la mort de Abir qu’une semaine après sa découverte, gisant sans vie dans son appartement, et sans lui fournir la moindre indication sur les circonstances de son décès. C’est en prenant contact avec ses amis, à Paris, que la famille a appris qu’elle avait été tuée.
Dans un communiqué publié samedi, l’Ordre des médecins a indiqué qu’il poursuit ses efforts pour faire la lumière sur cette affaire, avant de rendre hommage aux efforts des autorités françaises, du chef du gouvernement Rafic Hariri et de l’ambassade du Liban à Paris, pour rapatrier le plus tôt possible la dépouille mortelle.
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