La police marocaine a procédé samedi à 33 interpellations de suspects, dont plusieurs sont liés à ce groupe islamiste extrémiste.
Par ailleurs, le porte-parole du gouvernement marocain a promis hier une issue rapide à l’enquête sur les attentats-suicide, dont « les premiers éléments désignent un groupe islamiste marocain interdit dont certains membres seraient récemment revenus de l’étranger ». « Les kamikazes ont un rapport avec un groupe marocain, qui se fait appeler “Assirat al-Moustaqim” (Le Droit chemin), objet d’une affaire en cours d’instruction à la Chambre criminelle de la cour d’appel de Casablanca », a déclaré de son côté le ministre marocain de la Justice.
Les attaques à la bombe et à la voiture piégée perpétrées vendredi soir dans le centre-ville de Casablanca ont visé des cibles juives et des établissements fréquentés par des étrangers.
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