Le président russe, Vladimir Poutine, a tenu hier son adresse annuelle à la nation à partir de la tribune du Parlement. Lors d’un discours généraliste, prononcé sans grand charisme et qui n’a pas fait très forte impression auprès des parlementaires, M. Poutine a saisi l’occasion pour accuser implicitement les États-Unis de chercher, par leur intervention armée en Irak, à élargir leur zone d’influence stratégique, sous couvert de lutte contre le terrorisme et la prolifération nucléaire. Il a aussi assuré que la Russie était sortie de l’urgence et que les problèmes les plus graves, à commencer par la Tchétchénie, étaient « presque résolus ». PAGE 12
Le président russe, Vladimir Poutine, a tenu hier son adresse annuelle à la nation à partir de la tribune du Parlement. Lors d’un discours généraliste, prononcé sans grand charisme et qui n’a pas fait très forte impression auprès des parlementaires, M. Poutine a saisi l’occasion pour accuser implicitement les États-Unis de chercher, par leur intervention armée en Irak,...
100 jours d'abonnement pour 1$ seulement !
Abonnez-vous à un centenaire ultra connecté. Offre à durée limitée !
Les plus commentés
Israël est en train de perdre, mais pas autant que les Palestiniens
Don de l'UE : après avoir déclaré la guerre à Mikati, les chrétiens proposent la paix ?
Frontière terrestre libano-israélienne : où en sommes-nous ?