Des contacts sont ainsi effectués sur trois axes : Koraytem, la France et Damas, qui aurait clairement fait savoir à ses visiteurs libanais qu’il n’a pas l’intention d’intervenir pour résoudre le nouveau contentieux Lahoud-Hariri, lié au projet de construction d’écoles publiques. Le chef du Parlement, Nabih Berry, redoute que le gouvernement ne sombre, du fait des désaccords continus entre Baabda et Koraytem, dans la même paralysie que l’ancienne épuipe, et s’est empressé hier de proposer que les dossiers litigieux soient soumis au vote, pendant qu’à Bkerké, M. Karim Pakradouni répétait ses réserves au sujet du dossier contesté.
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