Le moins qu’on puisse dire, c’est que cette séance qui s’est achevée en queue de poisson n’était pas à l’honneur de l’Exécutif.
Ni, à en croire le chef des SR syriens au Liban, Rustom Ghazalé, qui l’a fait savoir hier à Nabih Berry, à celui du Législatif. Derrière la confusion et le scandale des carrières et des dépotoirs, il y a certainement une question de confiance, au sens courant du terme, que M. Akram Chehayeb a décidé de porter sur le plan constitutionnel.
Le chef du PSP, Walid Joumblatt, qui a appuyé la motion de censure de l’ancien ministre de l’Environnement, s’en expliquera aujourd’hui devant la presse, sachant pertinemment que les limites du jeu des institutions sont clairement posées.
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