Pour M. Lecourtier, le Liban en 2003 est, « aussi, plus solide ». Il a ajouté devant un parterre de personnalités libanaises : « Le Sommet de la francophonie (...) a permis au Liban de retrouver sa place éminente sur la scène internationale. » « La conférence de Paris II, organisée à l’initiative de la France, a ouvert la voie de son redressement financier et économique. Les conditions sont donc remplies pour que le Liban puisse recouvrer non seulement sa prospérité, mais aussi toute son indépendance dans un climat régional apaisé », a-t-il souligné. Sur le plan régional, M. Lecourtier a affirmé que « la route de la paix est suffisamment large pour n’exclure personne », en allusion sans doute aux inquiétudes de Beyrouth et de Damas concernant la « feuille de route ».
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