La dépouille mortelle de l’ambassadeur du Liban à Paris, Élysé Alam, décédé lundi des suites d’une longue maladie, sera rapatriée ce soir à 19h et directement transportée à la cathédrale maronite Saint-Georges, à Beyrouth, où elle sera accueillie par la famille et par les fonctionnaires du ministère des Affaires étrangères.
La messe de requiem sera célébrée demain matin dans la cathédrale, en présence notamment du ministre des Affaires étrangères, Jean Obeid, représentant le président de la République, le général Émile Lahoud. L’inhumation aura lieu dans son village natal de Daraya, dans le caza de Zghorta.
La communauté libanaise, les nombreux amis du Liban et pratiquement tous les ambassadeurs arabes accrédités dans la capitale française ont fait leurs adieux, hier, au diplomate disparu au cours d’une émouvante cérémonie funèbre célébrée par Mgr Saïda Saïd, vicaire patriarcal maronite, en la cathédrale Notre-Dame du Liban, rue d’Ulm.
Le palais de l’Élysée et le Quai d’Orsay ont tenu à s’associer officiellement à ces adieux. Leurs services protocolaires ont coordonné leur action avec la chargée d’affaires du Liban, Sylvie Fadallah, pour en établir le cérémonial. La Légion d’honneur a été décernée à titre posthume au diplomate aussi discret qu’efficace que le Liban vient de perdre. L’archevêque de Paris, le cardinal Lustiger, s’est fait officiellement représenter à la cérémonie.
À l’issue de la cérémonie religieuse, la dépouille mortelle, portée par des éléments de la garde républicaine, a reçu, à titre tout à fait exceptionnel, les honneurs militaires. La sonnerie aux morts puis les hymnes nationaux libanais et français ont retenti dans la rue d’Ulm, où la circulation avait été interdite, tandis que les personnes présentés défilaient devant le cercueil. Parmi les personnalités venues faire leurs adieux à Élysé Alam, on reconnaissait le général Michel Aoun.
Par ailleurs, plusieurs centaines de personnalités se sont rendues, pour la seconde journée consécutive, à l’ambassade du Liban, rue Copernic, pour signer le régistre ouvert après la mort de l’ambassadeur.
M. Obeid a reçu hier un télégramme de condoléances de l’ambassadeur du Yémen, qui a estimé qu’avec Élysé Alam, « le Liban perd une personnalité diplomatique de haut niveau, qui a passé la majeure partie de son existence au service de son pays ». « Doté d’un sens éthique très rigoureux, il était également très modeste », a-t-il indiqué.
La messe de requiem sera célébrée demain matin dans la cathédrale, en présence notamment du ministre des Affaires étrangères, Jean Obeid, représentant le président de la République, le général Émile Lahoud. L’inhumation aura lieu dans son village natal de Daraya, dans le caza de Zghorta.
La communauté libanaise, les nombreux amis du Liban et pratiquement tous les ambassadeurs arabes accrédités dans la capitale française ont fait leurs adieux, hier, au diplomate disparu au cours d’une émouvante cérémonie funèbre célébrée par Mgr Saïda Saïd, vicaire patriarcal maronite, en la cathédrale Notre-Dame du Liban, rue d’Ulm.
Le palais de l’Élysée et le Quai d’Orsay ont tenu à s’associer officiellement à ces adieux. Leurs services protocolaires ont coordonné leur action avec la chargée d’affaires du Liban, Sylvie Fadallah, pour en établir le cérémonial. La Légion d’honneur a été décernée à titre posthume au diplomate aussi discret qu’efficace que le Liban vient de perdre. L’archevêque de Paris, le cardinal Lustiger, s’est fait officiellement représenter à la cérémonie.
À l’issue de la cérémonie religieuse, la dépouille mortelle, portée par des éléments de la garde républicaine, a reçu, à titre tout à fait exceptionnel, les honneurs militaires. La sonnerie aux morts puis les hymnes nationaux libanais et français ont retenti dans la rue d’Ulm, où la circulation avait été interdite, tandis que les personnes présentés défilaient devant le cercueil. Parmi les personnalités venues faire leurs adieux à Élysé Alam, on reconnaissait le général Michel Aoun.
Par ailleurs, plusieurs centaines de personnalités se sont rendues, pour la seconde journée consécutive, à l’ambassade du Liban, rue Copernic, pour signer le régistre ouvert après la mort de l’ambassadeur.
M. Obeid a reçu hier un télégramme de condoléances de l’ambassadeur du Yémen, qui a estimé qu’avec Élysé Alam, « le Liban perd une personnalité diplomatique de haut niveau, qui a passé la majeure partie de son existence au service de son pays ». « Doté d’un sens éthique très rigoureux, il était également très modeste », a-t-il indiqué.
La dépouille mortelle de l’ambassadeur du Liban à Paris, Élysé Alam, décédé lundi des suites d’une longue maladie, sera rapatriée ce soir à 19h et directement transportée à la cathédrale maronite Saint-Georges, à Beyrouth, où elle sera accueillie par la famille et par les fonctionnaires du ministère des Affaires étrangères. La messe de requiem sera célébrée...
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