Comparant à cette occasion la liberté à « l’oxygène » dont ce pays a besoin, M. Hariri a ajouté : « Je vais dire une chose que les gens ne vont peut-être pas croire : je n’interviens pas du tout dans la rédaction du journal. Je le critique en tant que lecteur, mais je n’y imprime aucune orientation particulière, surtout en ce qui concerne les hommes et responsables politiques. » Soulignant dans ce cadre l’indépendance dont jouit le quotidien, le chef du gouvernement a poursuivi : « Il y a eu beaucoup de nouvelles recrues ces derniers temps. Elles ont demandé à me rencontrer pour me demander notamment si elles auraient à écrire des choses dont elles ne sont pas convaincues. » Et d’affirmer : « Ma réponse a toujours été : je peux vous assurer que je n’exigerai jamais rien de vous. »
Notons que de nombreuses personnalités étaient présentes à cette cérémonie qui s’est déroulée au centre Biel.
Les plus commentés
Israël est en train de perdre, mais pas autant que les Palestiniens
Don de l'UE : après avoir déclaré la guerre à Mikati, les chrétiens proposent la paix ?
Frontière terrestre libano-israélienne : où en sommes-nous ?