Les habitants des localités de Mechmech, Beit Ayoub et Beit Younès, au Akkar, continuent de se plaindre de la mauvaise exécution d’un barrage de retenue des eaux de pluie dont les travaux ont été entamés il y a près de deux ans.
La construction de ce barrage s’inscrit dans le cadre d’un projet du Plan vert destiné à venir en aide aux agriculteurs de la région et à leur permettre d’irriguer leurs terres situées à une altitude de 1 500 mètres et dont la superficie totale excède les 150 hectares.
Situé au lieudit Nakra, à Mazraat Beit Younès, à proximité de Mechmech, le barrage de terre, d’une capacité de 75 000 mètres cubes, constituait pour ces agriculteurs l’unique espoir de demeurer sur leurs terres atteintes de désertification.
Cet espoir s’est toutefois envolé suite à des fissures apparues dans le mur de pierre et le fond du barrage d’une superficie de 10 000 mètres carrés, et les fuites d’eau incontrôlables rendent désormais le barrage inutile.
Notre correspondant au Akkar, Michel Hallak, rapporte que les habitants ont déjà soumis plusieurs pétitions aux instances concernées, réclamant sans aucun résultat la réhabilitation du barrage.
Le député Wajih Baarini a effectué hier une tournée dans cette région difficilement accessible en raison des chemins de terre crevassés qui la desservent et a écouté les doléances de la population.
« Le barrage, qui s’étend de Mechmech au caza du Hermel, n’a pas été construit suivant les normes imposées en raison du manque de contrôle par les organismes concernés, ce qui le rend inutile et constitue une dilapidation des fonds publics », a déclaré M. Baarini à l’issue de la tournée.
« La mauvaise exécution des travaux de ce barrage nous fait craindre pour les futurs projets prévus dans notre région », a-t-il ajouté, assurant qu’il s’engageait à poursuivre cette affaire personnellement auprès des organismes compétents.
Interrogés par notre correspondant, les habitants ont indiqué que la construction du barrage avait encouragé de nombreuses familles à retourner dans la région dans l’espoir de pouvoir pratiquer la culture d’une terre fertile à laquelle il ne manquait que l’eau. Certains, qui avaient même construit des maisons à proximité du barrage, pensent déjà les quitter pour retourner dans les villes.
La directrice du bureau local du Plan vert, Ibtihaj Jamali Mrad, a affirmé que le rôle de son département s’était limité à convaincre les habitants de céder le terrain nécessaire à la construction du barrage et à les aider à former un comité chargé de la distribution de l’eau.
Elle a ajouté qu’elle avait déjà reçu une série de plaintes, qu’elle avait transmises à la direction du Plan vert, et qu’elle avait demandé au Conseil du développement et de la reconstruction (CDR) de procéder aux réparations nécessaires.
La construction de ce barrage s’inscrit dans le cadre d’un projet du Plan vert destiné à venir en aide aux agriculteurs de la région et à leur permettre d’irriguer leurs terres situées à une altitude de 1 500 mètres et dont la superficie totale excède les 150 hectares.
Situé au lieudit Nakra, à Mazraat Beit Younès, à proximité de Mechmech, le barrage de terre, d’une capacité de 75 000 mètres cubes, constituait pour ces agriculteurs l’unique espoir de demeurer sur leurs terres atteintes de désertification.
Cet espoir s’est toutefois envolé suite à des fissures apparues dans le mur de pierre et le fond du barrage d’une superficie de 10 000 mètres carrés, et les fuites d’eau incontrôlables rendent désormais le barrage inutile.
Notre correspondant au Akkar, Michel Hallak, rapporte que les habitants ont déjà soumis plusieurs pétitions aux instances concernées, réclamant sans aucun résultat la réhabilitation du barrage.
Le député Wajih Baarini a effectué hier une tournée dans cette région difficilement accessible en raison des chemins de terre crevassés qui la desservent et a écouté les doléances de la population.
« Le barrage, qui s’étend de Mechmech au caza du Hermel, n’a pas été construit suivant les normes imposées en raison du manque de contrôle par les organismes concernés, ce qui le rend inutile et constitue une dilapidation des fonds publics », a déclaré M. Baarini à l’issue de la tournée.
« La mauvaise exécution des travaux de ce barrage nous fait craindre pour les futurs projets prévus dans notre région », a-t-il ajouté, assurant qu’il s’engageait à poursuivre cette affaire personnellement auprès des organismes compétents.
Interrogés par notre correspondant, les habitants ont indiqué que la construction du barrage avait encouragé de nombreuses familles à retourner dans la région dans l’espoir de pouvoir pratiquer la culture d’une terre fertile à laquelle il ne manquait que l’eau. Certains, qui avaient même construit des maisons à proximité du barrage, pensent déjà les quitter pour retourner dans les villes.
La directrice du bureau local du Plan vert, Ibtihaj Jamali Mrad, a affirmé que le rôle de son département s’était limité à convaincre les habitants de céder le terrain nécessaire à la construction du barrage et à les aider à former un comité chargé de la distribution de l’eau.
Elle a ajouté qu’elle avait déjà reçu une série de plaintes, qu’elle avait transmises à la direction du Plan vert, et qu’elle avait demandé au Conseil du développement et de la reconstruction (CDR) de procéder aux réparations nécessaires.
Les habitants des localités de Mechmech, Beit Ayoub et Beit Younès, au Akkar, continuent de se plaindre de la mauvaise exécution d’un barrage de retenue des eaux de pluie dont les travaux ont été entamés il y a près de deux ans.La construction de ce barrage s’inscrit dans le cadre d’un projet du Plan vert destiné à venir en aide aux agriculteurs de la région et à leur...
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