Pour se faire mieux entendre de Téhéran, la Russie a indiqué qu’elle ne commencera les livraisons de combustible nucléaire pour la centrale de Bouchehr « que quand l’Iran aura placé toutes ses installations nucléaires sous le contrôle de l’Agence internationale de l’énergie atomique, et aura répondu à toutes les questions posées par l’agence ».
Cependant, le président russe Vladimir Poutine a indiqué avoir reçu il y a deux jours du président iranien Mohammed Khatami l’assurance que son pays ne voulait pas fabriquer d’armes nucléaires, et a ajouté que Téhéran était prêt à adhérer à « tous les protocoles nécessaires » de l’AIEA.
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