Visible parce que, à l’heure où les menaces bien claires du secrétaire d’État US se multiplient contre le régime de Bachar el-Assad, il serait important pour Damas que tout le monde – Libanais, Européens, Américains avec Colin Powell en tête – voie d’éventuelles impressionnantes colonnes de chars prendre ostentatoirement la route de Damas.
Damas qui pourrait aller bien plus loin, par calcul ou par crainte, et retirer entièrement ses forces du Liban, début 2004, disent certains, décembre, voire septembre 2003, arguent d’autres. Sauf que, pour être total, ce retrait doit impérativement s’accompagner d’un arrêt de la tutellisation politique du Liban comme d’une désyrianisation (de la mentalité) de la plupart de ses dirigeants.
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