C’est une véritable guerre froide qui semble opposer désormais les présidents Émile Lahoud et Rafic Hariri dans la mesure où tous les deux ont apparemment décidé de confier aux ministres le soin de s’affronter à leur place. Pour les pôles de l’Exécutif, l’essentiel serait d’éviter un conflit direct qui aggraverait davantage la crise actuelle, indique une source gouvernementale. Naturellement, Karim Pakradouni et Marwan Hamadé nient avoir « représenté », l’un le chef de l’État, l’autre le Premier ministre, dans leur algarade de jeudi.
Mais si tous les deux affirment que l’incident est clos sur le plan personnel, chacun campe sur ses positions concernant l’identité du responsable qui devrait participer aux réunions des institutions monétaires internationales au nom du Liban. La réconciliation entre eux reste ainsi visiblement de pure forme.
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Mais si tous les deux affirment que l’incident est clos sur le plan personnel, chacun campe sur ses positions concernant l’identité du responsable qui devrait participer aux réunions des institutions monétaires internationales au nom du Liban. La réconciliation entre eux reste ainsi visiblement de pure forme.
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C’est une véritable guerre froide qui semble opposer désormais les présidents Émile Lahoud et Rafic Hariri dans la mesure où tous les deux ont apparemment décidé de confier aux ministres le soin de s’affronter à leur place. Pour les pôles de l’Exécutif, l’essentiel serait d’éviter un conflit direct qui aggraverait davantage la crise actuelle, indique une source...
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