Les machines sophistiquées obéissant aux normes internationales, et dont certaines atteignent 50 mètres de hauteur, occuperont un espace de 12 000 mètres carrés. L’opération Liban a coûté à l’entreprise Freij Entertainment International, basée aux Émirats arabes unis, près de un million cent mille dollars.
Et c’est par pur hasard que Beyrouth a été sélectionnée : le parc d’attractions devait s’installer à Singapour au cours de l’été, mais le SRAS a découragé les directeurs de l’entreprise d’envoyer personnel et machines vers cette destination risquée.
La mise en place du Beirut Fun City permettra la création de 500 emplois saisonniers pour les jeunes du pays. Les techniciens qui s’occuperont de l’entretien des machines sont d’origine européenne, notamment des Allemands, des Hollandais et des Italiens.
Au cours d’une conférence de presse tenue hier au Biel, le PDG de l’entreprise Freij Entertainment international, Souheil Obeid, a relevé que les jeux qui seront installés au Biel seront divisés en trois groupes : ceux destinés aux enfants âgés entre 3 et 10 ans, ceux réservés aux adolescents et enfin les jeux pour adultes. Les forfaits varieront entre 1500 et 3000 livres pour chaque jeu. Le parc d’attractions mobile sera ouvert tous les jours au public, à partir de 16 h.
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