Rechercher
Rechercher

Actualités

Les massacres arméniens et leurs extensions au cours de l’histoire

L’histoire du peule arménien sous le régime des Jeunes Turcs et du parti « Union et progrès » est jalonnée de meurtres, de violences, de destructions, d’occupation et de déportation. La nation arménienne s’est transformée en terre brûlée et le peuple arménien fut déporté. Les massacres perpétrés contre les Arméniens ne furent que la conséquence inéluctable de l’idéologie touranienne et de la politique de turquification, lesquelles constituent l’un des aspects du racisme, une idéologie dangereuse, à l’origine de l’anéantissement des sociétés humaines dans plusieurs pays, notamment dans l’Allemagne nazie et en Yougoslavie sous le régime de Milosevic. Le touranisme et la turquification constituent un mouvement nationaliste raciste basé sur la supériorité raciale et sur le fanatisme national. Ils n’étaient, au départ, qu’une secte juive sioniste implantée dans l’Empire ottoman par le biais des intellectuels et des protocoles des sionistes. Une secte qui a évolué plus tard pour se transformer en une doctrine basée sur l’union des communautés turques de souche, avec pour objectif la turquification de l’Empire ottoman, y compris des éléments non turcs. Le sionisme est l’autre face du touranisme. Son objectif consiste à faire de la région du Moyen-Orient un brasier de conflits et de guerres et à imposer le sionisme juif aux territoires palestiniens. L’histoire des Arabes avec le racisme est mêlée de meurtres et de déportations, sur lesquels se sont fondés le mouvement sioniste et Israël, qui n’a pas connu la paix et qui ne veut pas opter pour la paix comme choix stratégique pour l’avenir. L’État hébreu a expulsé par la force le peuple palestinien d’une grande partie de ses territoires, le déportant vers d’autres contrées. L’existence d’Israël fut légitimée grâce aux pouvoirs juifs répandus dans le monde, en particulier aux États-Unis. En effet, Israël joue la victime et s’attire les grâces de la communauté internationale au grand dam des Arabes et du peuple palestinien. Après les attentats du 11 septembre, les États-Unis ont exercé, à l’échelle internationale, le racisme, sous toutes ses formes, à la manière des touraniens, emportés par l’émotion et par le souci de redorer leur blason et consacrer leur suprématie par la militarisation. Dans les sphères politiques américaines, sous le mandat du président Bush qui brandit le slogan « qui n’est pas avec nous est contre nous », retentissent, de concert avec le sionisme, des voix fondamentalistes évangélistes. Ces voix appellent à recourir à la force pour affermir l’hégémonie américaine dans les quatre coins du monde. En outre, les États-Unis ne se limitent pas au renversement des régimes dits dangereux, en arborant l’étendard de la « guerre préventive », ils vont jusqu’à étouffer les idées récalcitrantes et provocatrices et imposent leur culture socio-éducative et politique. Quelle est la différence aujourd’hui entre les Arméniens, victimes des massacres perpétrés par les Jeunes Turcs et les Arabes martyrs, victimes des intérêts israéliens et américains ? La souffrance des Arabes et des Arméniens est une. Leur ennemi aussi, à savoir l’ennemi sioniste, résolu à appliquer son projet à travers de nouvelles méthodes, appellations et technologies, de sorte à répondre, croit-il, à la nature et au progrès de notre ère. Les sionistes puisent cette force irrévocable dans la faiblesse de la communauté internationale. D’ailleurs, l’impunité dont fait preuve la communauté internationale à l’égard de la Turquie sur le dossier des massacres des Arméniens a donné libre cours aux politiques de génocide collectif et racial et de liquidation dans le monde entier. Cette situation suppose une détermination internationale afin de mettre un terme à l’injustice et reconnaître les massacres arméniens. Sous le régime du parti « Union et progrès », les Jeunes Turcs ont tué des Arméniens, mais ils n’ont pu freiner la survie d’une cause toujours vivante dans le cœur de chaque Arménien de par le monde. L’avenir appartient à ceux qui ont épousé, défendu cette cause et cru en elle. Jean OGHASSABIAN Député de BeyrouthL’histoire du peule arménien sous le régime des Jeunes Turcs et du parti « Union et progrès » est jalonnée de meurtres, de violences, de destructions, d’occupation et de déportation. La nation arménienne s’est transformée en terre brûlée et le peuple arménien fut déporté. Les massacres perpétrés contre les Arméniens ne furent que la conséquence inéluctable de l’idéologie touranienne et de la politique de turquification, lesquelles constituent l’un des aspects du racisme, une idéologie dangereuse, à l’origine de l’anéantissement des sociétés humaines dans plusieurs pays, notamment dans l’Allemagne nazie et en Yougoslavie sous le régime de Milosevic. Le touranisme et la turquification constituent un mouvement nationaliste raciste basé sur la supériorité raciale et sur le fanatisme national. Ils n’étaient, au départ, qu’une secte juive sioniste implantée dans l’Empire ottoman par le biais des intellectuels et des protocoles des sionistes. Une secte qui a évolué plus tard pour se transformer en une doctrine basée sur l’union des communautés turques de souche, avec pour objectif la turquification de l’Empire ottoman, y compris des éléments non turcs. Le sionisme est l’autre face du touranisme. Son objectif consiste à faire de la région du Moyen-Orient un brasier de conflits et de guerres et à imposer le sionisme juif aux territoires palestiniens. L’histoire des Arabes avec le racisme est mêlée de meurtres et de déportations, sur lesquels se sont fondés le mouvement sioniste et Israël, qui n’a pas connu la paix et qui ne veut pas opter pour la paix comme choix stratégique pour l’avenir. L’État hébreu a expulsé par la force le peuple palestinien d’une grande partie de ses territoires, le déportant vers d’autres contrées. L’existence d’Israël fut légitimée grâce aux pouvoirs juifs répandus dans le monde, en particulier aux États-Unis. En effet, Israël joue la victime et s’attire les grâces de la communauté internationale au grand dam des Arabes et du peuple palestinien. Après les attentats du 11 septembre, les États-Unis ont exercé, à l’échelle internationale, le racisme, sous toutes ses formes, à la manière des touraniens, emportés par l’émotion et par le souci de redorer leur blason et consacrer leur suprématie par la militarisation. Dans les sphères politiques américaines, sous le mandat du président Bush qui brandit le slogan « qui n’est pas avec nous est contre nous », retentissent, de concert avec le sionisme, des voix fondamentalistes évangélistes. Ces voix appellent à recourir à la force pour affermir l’hégémonie américaine dans les quatre coins du monde. En outre, les États-Unis ne se limitent pas au renversement des régimes dits dangereux, en arborant l’étendard de la « guerre préventive », ils vont jusqu’à étouffer les idées récalcitrantes et provocatrices et imposent leur culture socio-éducative et politique. Quelle est la différence aujourd’hui entre les Arméniens, victimes des massacres perpétrés par les Jeunes Turcs et les Arabes martyrs, victimes des intérêts israéliens et américains ? La souffrance des Arabes et des Arméniens est une. Leur ennemi aussi, à savoir l’ennemi sioniste, résolu à appliquer son projet à travers de nouvelles méthodes, appellations et technologies, de sorte à répondre, croit-il, à la nature et au progrès de notre ère. Les sionistes puisent cette force irrévocable dans la faiblesse de la communauté internationale. D’ailleurs, l’impunité dont fait preuve la communauté internationale à l’égard de la Turquie sur le dossier des massacres des Arméniens a donné libre cours aux politiques de génocide collectif et racial et de liquidation dans le monde entier. Cette situation suppose une détermination internationale afin de mettre un terme à l’injustice et reconnaître les massacres arméniens. Sous le régime du parti « Union et progrès », les Jeunes Turcs ont tué des Arméniens, mais ils n’ont pu freiner la survie d’une cause toujours vivante dans le cœur de chaque Arménien de par le monde. L’avenir appartient à ceux qui ont épousé, défendu cette cause et cru en elle. Jean OGHASSABIAN Député de BeyrouthL’histoire du peule arménien sous le régime des Jeunes Turcs et du parti « Union et progrès » est jalonnée de meurtres, de violences, de destructions, d’occupation et de déportation. La nation arménienne s’est transformée en terre brûlée et le peuple arménien fut déporté. Les massacres perpétrés contre les Arméniens ne furent que la conséquence inéluctable de l’idéologie touranienne et de la politique de turquification, lesquelles constituent l’un des aspects du racisme, une idéologie dangereuse, à l’origine de l’anéantissement des sociétés humaines dans plusieurs pays, notamment dans l’Allemagne nazie et en Yougoslavie sous le régime de Milosevic. Le touranisme et la turquification constituent un mouvement nationaliste raciste basé sur la supériorité raciale et sur le fanatisme national. Ils n’étaient, au départ, qu’une secte juive sioniste implantée dans l’Empire ottoman par le biais des intellectuels et des protocoles des sionistes. Une secte qui a évolué plus tard pour se transformer en une doctrine basée sur l’union des communautés turques de souche, avec pour objectif la turquification de l’Empire ottoman, y compris des éléments non turcs. Le sionisme est l’autre face du touranisme. Son objectif consiste à faire de la région du Moyen-Orient un brasier de conflits et de guerres et à imposer le sionisme juif aux territoires palestiniens. L’histoire des Arabes avec le racisme est mêlée de meurtres et de déportations, sur lesquels se sont fondés le mouvement sioniste et Israël, qui n’a pas connu la paix et qui ne veut pas opter pour la paix comme choix stratégique pour l’avenir. L’État hébreu a expulsé par la force le peuple palestinien d’une grande partie de ses territoires, le déportant vers d’autres contrées. L’existence d’Israël fut légitimée grâce aux pouvoirs juifs répandus dans le monde, en particulier aux États-Unis. En effet, Israël joue la victime et s’attire les grâces de la communauté internationale au grand dam des Arabes et du peuple palestinien. Après les attentats du 11 septembre, les États-Unis ont exercé, à l’échelle internationale, le racisme, sous toutes ses formes, à la manière des touraniens, emportés par l’émotion et par le souci de redorer leur blason et consacrer leur suprématie par la militarisation. Dans les sphères politiques américaines, sous le mandat du président Bush qui brandit le slogan « qui n’est pas avec nous est contre nous », retentissent, de concert avec le sionisme, des voix fondamentalistes évangélistes. Ces voix appellent à recourir à la force pour affermir l’hégémonie américaine dans les quatre coins du monde. En outre, les États-Unis ne se limitent pas au renversement des régimes dits dangereux, en arborant l’étendard de la « guerre préventive », ils vont jusqu’à étouffer les idées récalcitrantes et provocatrices et imposent leur culture socio-éducative et politique. Quelle est la différence aujourd’hui entre les Arméniens, victimes des massacres perpétrés par les Jeunes Turcs et les Arabes martyrs, victimes des intérêts israéliens et américains ? La souffrance des Arabes et des Arméniens est une. Leur ennemi aussi, à savoir l’ennemi sioniste, résolu à appliquer son projet à travers de nouvelles méthodes, appellations et technologies, de sorte à répondre, croit-il, à la nature et au progrès de notre ère. Les sionistes puisent cette force irrévocable dans la faiblesse de la communauté internationale. D’ailleurs, l’impunité dont fait preuve la communauté internationale à l’égard de la Turquie sur le dossier des massacres des Arméniens a donné libre cours aux politiques de génocide collectif et racial et de liquidation dans le monde entier. Cette situation suppose une détermination internationale afin de mettre un terme à l’injustice et reconnaître les massacres arméniens. Sous le régime du parti « Union et progrès », les Jeunes Turcs ont tué des Arméniens, mais ils n’ont pu freiner la survie d’une cause toujours vivante dans le cœur de chaque Arménien de par le monde. L’avenir appartient à ceux qui ont épousé, défendu cette cause et cru en elle. Jean OGHASSABIAN Député de Beyrouth
L’histoire du peule arménien sous le régime des Jeunes Turcs et du parti « Union et progrès » est jalonnée de meurtres, de violences, de destructions, d’occupation et de déportation. La nation arménienne s’est transformée en terre brûlée et le peuple arménien fut déporté. Les massacres perpétrés contre les Arméniens ne furent que la conséquence inéluctable de...