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At last, that wind at my window

At last, sung by Nat King Cole. Sirupeux ? Alors écoutons Valéry (Paul, pas François) : Le vent se lève, il faut tenter de vivre. Ou encore Restif : Il ne faut pas coller-à Celui qui a le choléra. Enfin, en fin de citation : ...et moi, et moi, et moi, Dutronc. Du tronc, souviens-t-en, c’est le moment. De ta souche, de tes racines, de cet arbre que nous sommes ensemble et qu’importe la forêt autour. Aime-toi un peu, ça ne fait rien, pense à toi d’abord. Parce que parmi les autres tu ne trouveras pas un seul qui te veuille du bien. Une coque de noix sur l’océan ne se soucie pas de savoir si c’est le France ou le Queen Mary qui va remporter le ruban bleu de la course atlantique. Avec les Anglo-Saxons, avec les Français ? Un siècle et demi qu’ils se livrent une lutte d’influence ici. Ça suffit, tu as donné autant que tu as reçu, pas besoin de dire merci. Bush a tort, Chirac a raison ? Peut-être bien, mais pour toi la vraie question, si tu veux espérer, c’est qui tient le manche. Le manche à balai et le manche du balai. Espérer, espérer pour vivre. Voici, Valéry, que le vent se lève, tourne et tourbillonne. C’est la loi, retrouvée, de la nature. Tout le reste est littérature. J.I.
At last, sung by Nat King Cole. Sirupeux ? Alors écoutons Valéry (Paul, pas François) : Le vent se lève, il faut tenter de vivre. Ou encore Restif : Il ne faut pas coller-à Celui qui a le choléra. Enfin, en fin de citation : ...et moi, et moi, et moi, Dutronc. Du tronc, souviens-t-en, c’est le moment. De ta souche, de tes racines, de cet arbre que nous sommes ensemble et...