Communautés - Le ministre de la Santé a été reçu par Mgr Audeh Frangié appelle à un dialogue national sous l’égide de Baabda et de Bkerké(photo)

Le métropolite de Beyrouth, Mgr Élias Audeh, a reçu hier le ministre de la Santé, Sleimane Frangié, son conseiller politique, Joseph Araïji, et le député Fayez Ghosn, avec qui il a évoqué les derniers développements sur la scène régionale. À l’issue de la rencontre, M. Frangié a indiqué que la discussion avait porté sur la séance du Conseil de sécurité de lundi, sur le discours du président américain George W. Bush au peuple américain et sur l’ultimatum lancé au président irakien Saddam Hussein. M. Frangié a estimé qu’il fallait profiter des répercussions positives de la guerre en Irak sur la scène locale, notamment au niveau de l’unité interne, pour consacrer et stabiliser ce climat à l’avenir. « Il ne faut pas que cette atmosphère soit exceptionnelle, fruit de circonstances exceptionnelles », a-t-il ajouté. L’initiative d’une consécration de ce climat d’entente devrait revenir à tout un chacun, a précisé le ministre de la Santé. « Chacun de nous doit pouvoir faire quelque chose dans ces circonstances », a indiqué M. Frangié. « Dans le cadre d’un tel dialogue national, il ne devrait y avoir de veto sur personne. Nous pouvons tous nous rencontrer, pour nous entendre ou bien pour être en désaccord. Mais pourquoi ne pas se retrouver ? » a-t-il poursuivi, en appelant à la levée des obstacles qui pourraient empêcher la tenue d’un tel dialogue. Le rôle du président de la République, le général Émile Lahoud, est « de se tenir au-dessus des clivages », a souligné M. Frangié, en appelant le chef de l’État à parrainer un dialogue national. Un dialogue qui doit se dérouler sous l’égide de Baabda et de Bkerké, a-t-il souligné, en plaidant en faveur d’un rapprochement entre le président Lahoud et le patriarche maronite, Mgr Nasrallah Sfeir, pour « consacrer l’unité nationale et améliorer la situation des chrétiens ».Le métropolite de Beyrouth, Mgr Élias Audeh, a reçu hier le ministre de la Santé, Sleimane Frangié, son conseiller politique, Joseph Araïji, et le député Fayez Ghosn, avec qui il a évoqué les derniers développements sur la scène régionale. À l’issue de la rencontre, M. Frangié a indiqué que la discussion avait porté sur la séance du Conseil de sécurité de lundi, sur le discours du président américain George W. Bush au peuple américain et sur l’ultimatum lancé au président irakien Saddam Hussein. M. Frangié a estimé qu’il fallait profiter des répercussions positives de la guerre en Irak sur la scène locale, notamment au niveau de l’unité interne, pour consacrer et stabiliser ce climat à l’avenir. « Il ne faut pas que cette atmosphère soit exceptionnelle, fruit de circonstances exceptionnelles », a-t-il ajouté. L’initiative d’une consécration de ce climat d’entente devrait revenir à tout un chacun, a précisé le ministre de la Santé. « Chacun de nous doit pouvoir faire quelque chose dans ces circonstances », a indiqué M. Frangié. « Dans le cadre d’un tel dialogue national, il ne devrait y avoir de veto sur personne. Nous pouvons tous nous rencontrer, pour nous entendre ou bien pour être en désaccord. Mais pourquoi ne pas se retrouver ? » a-t-il poursuivi, en appelant à la levée des obstacles qui pourraient empêcher la tenue d’un tel dialogue. Le rôle du président de la République, le général Émile Lahoud, est « de se tenir au-dessus des clivages », a souligné M. Frangié, en appelant le chef de l’État à parrainer un dialogue national. Un dialogue qui doit se dérouler sous l’égide de Baabda et de Bkerké, a-t-il souligné, en plaidant en faveur d’un rapprochement entre le président Lahoud et le patriarche maronite, Mgr Nasrallah Sfeir, pour « consacrer l’unité nationale et améliorer la situation des chrétiens ».