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Actualités

Justice Poursuites contre un adepte du satanisme

Le parquet de la cour d’appel à Beyrouth a engagé des poursuites contre un adepte du satanisme, Abdelkader K., ressortissant syrien né en 1972. La charge retenue contre lui est la commercialisation de films prohibés qui font l’éloge des adeptes du satanisme. Quatre titres ont été saisis : les séquelles de la mort, la dangereuse vie des serveurs de l’autel, la vie après la mort, et l’hostie. Le parquet a relâché le ressortissant syrien sous caution d’élection de domicile. Des sources bien informées soulignent dans ce cadre que « la justice fait face actuellement à l’absence de textes juridiques permettant d’arrêter et de sanctionner les adeptes du satanisme ». Par ailleurs, en réponse à une question relative aux rumeurs sur la présence d’adeptes du diable au Liban-Nord, notamment à Tripoli, le ministre de la Justice, Samir Jisr, a mis en garde contre « les rumeurs propagées par une cinquième colonne qui veut semer la discorde ». Il a aussi indiqué qu’il avait été informé de cette affaire par son épouse qui lui avait raconté l’histoire d’une petite fille enlevée à Tripoli. « Cette histoire et celle relative à des cadavres entassés dans certaines morgues ne sont que des rumeurs. » « Cette affaire n’est autre qu’un projet de discorde », a-t-il souligné en conclusion.
Le parquet de la cour d’appel à Beyrouth a engagé des poursuites contre un adepte du satanisme, Abdelkader K., ressortissant syrien né en 1972. La charge retenue contre lui est la commercialisation de films prohibés qui font l’éloge des adeptes du satanisme. Quatre titres ont été saisis : les séquelles de la mort, la dangereuse vie des serveurs de l’autel, la vie après...