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Selon le palais Bustros, les propos de Baaklini auraient été déformés

Les propos de l’ambassadeur du Liban à Ottawa, Raymond Baaklini, à l’origine d’un malaise dans les relations libano-canadiennes, ont été « déformés », a-t-on indiqué hier au palais Bustros, à la suite d’un entretien au téléphone entre le chef de la diplomatie, Mahmoud Hammoud, et M. Baaklini. L’ambassadeur avait dû se rendre vendredi au ministère canadien des Affaires étrangères pour s’expliquer sur des déclarations dont il ressort qu’Ottawa avait pris la décision d’inscrire le Hezbollah sur sa liste noire sous la pression d’un « parti sioniste » qui contrôle 90 % des médias canadiens. Bill Graham, ministre canadien des Affaires étrangères, s’était déclaré « extrêmement troublé » par ces commentaires. Le palais Bustros s’est abstenu de préciser quels étaient les propos « déformés » et encore moins ce qu’aurait dit réellement M. Baaklini.
Les propos de l’ambassadeur du Liban à Ottawa, Raymond Baaklini, à l’origine d’un malaise dans les relations libano-canadiennes, ont été « déformés », a-t-on indiqué hier au palais Bustros, à la suite d’un entretien au téléphone entre le chef de la diplomatie, Mahmoud Hammoud, et M. Baaklini. L’ambassadeur avait dû se rendre vendredi au ministère canadien des...