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IRAK - Paris et l’Onu exhortent Bagdad à une coopération « plus active » Washington et Londres tempèrent l’éventualité d’une guerre dans un délai proche (PHOTO)

Le spectre de la guerre semblait s’éloigner un peu hier, du moins temporairement. Alors que Mohammed el-Baradei, l’un des chefs des inspecteurs en désarmement de l’Onu, exhortait Bagdad, à l’unisson de Paris, à faire preuve d’une coopération « plus active », les va-t-en guerre mettaient un bémol à leur discours belliciste. Tony Blair d’abord qui, tout en jugeant « probablement faux » le rapport de l’Irak sur son arsenal, estimait qu’il fallait « maintenir l’autorité de l’Onu ». George W. Bush ensuite, dont le porte-parole expliquait hier soir qu’il n’avait pas fixé de calendrier en matière d’intervention militaire. À l’origine de cette apparente tempérance, l’opposition de plus en plus marquée des opinions publiques à une frappe contre Bagdad, mais peut-être aussi, le retard pris par la coalition américano-britannique dans le déploiement de ses troupes en raison de problèmes logistiques.
Le spectre de la guerre semblait s’éloigner un peu hier, du moins temporairement. Alors que Mohammed el-Baradei, l’un des chefs des inspecteurs en désarmement de l’Onu, exhortait Bagdad, à l’unisson de Paris, à faire preuve d’une coopération « plus active », les va-t-en guerre mettaient un bémol à leur discours belliciste. Tony Blair d’abord qui, tout en jugeant «...