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Interview - Charles Pasqua à l'Orient Le Jour La 520 après la 425
le 22 juillet 2000 à 00h00
«Je ne suis pas candidat (à la présidence française) parce que je cherche une situation, mais parce qu’il n’y a personne, aujourd’hui, pour défendre les principes de la Ve République». Au menu de l’entretien que Charles Pasqua nous a accordé une demi-heure avant sa conférence de presse, et après quatre jours passés au Liban, il y avait les rapports syro-libanais, «il faudrait que les mêmes efforts déployés pour la 425 soit fournis pour appliquer la 520 (la résolution de l’Onu exigeant le départ de toutes les forces étrangères, donc de la Syrie)». Également évoqués, le déploiement de l’armée dans le Sud, la paix au PO, la place de la France au Liban, les rapports de M. Pasqua avec Jacques Chirac, la question du quinquennat, mais aussi la polémique franco-française autour du film Baise-moi, il est pour son interdiction, ou sa position par rapport à la censure, notamment au Liban. Et là il est radicalement contre. Rencontre…
«Je ne suis pas candidat (à la présidence française) parce que je cherche une situation, mais parce qu’il n’y a personne, aujourd’hui, pour défendre les principes de la Ve République». Au menu de l’entretien que Charles Pasqua nous a accordé une demi-heure avant sa conférence de presse, et après quatre jours passés au Liban, il y avait les rapports syro-libanais,...
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