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Actualités - CHRONOLOGIE

Retrait - La frontière avec Israël est déjà établie, réaffirme Hoss Barak : la France doit décider si elle veut participer à une force au Liban-Sud

Ehud Barak a de nouveau cherché hier à forcer la main à la France en affirmant que c’est à elle de décider si elle souhaite participer à une force internationale qui se déploierait au Liban-Sud après un retrait israélien. «Seuls les Français peuvent décider s’ils veulent participer à une telle force. Ils disposent déjà d’un effectif de 200 hommes au sein de de la Finul», a déclaré M. Barak à l’issue d’une rencontre à Tel-Aviv avec le ministre français de la Défense Alain Richard. «La France a un grand amour pour le Liban. Les Français sont très respectés dans toutes les capitales de la région aussi bien ici (en Israël), qu’à Beyrouth et à Damas», a ajouté M. Barak. Israël souhaiterait voir la France participer de façon active à des arrangements sur sa frontière nord pour éviter un embrasement après le départ de son armée. Paris s’est toutefois montré très prudent quant à un engagement de troupes françaises, s’en remettant pour l’heure à l’Onu. Mercredi, le chef de la diplomatie française avait souligné que son pays était préoccupé par le «risque de vide» au Liban-Sud et s’inquiétait de «l’attitude du Hezbollah» à cet égard. Par ailleurs, le chef du gouvernement Sélim Hoss a réaffirmé hier que la frontière libano-israélienne était «déjà établie» et qu’elle n’avait pas besoin d’un nouveau tracé.
Ehud Barak a de nouveau cherché hier à forcer la main à la France en affirmant que c’est à elle de décider si elle souhaite participer à une force internationale qui se déploierait au Liban-Sud après un retrait israélien. «Seuls les Français peuvent décider s’ils veulent participer à une telle force. Ils disposent déjà d’un effectif de 200 hommes au sein de de la...