L’ancien chef de gouvernement Rafic Hariri a affirmé hier que l’État hébreu «ne nous a jamais habitués à faire des cadeaux à quiconque et cela sert son intérêt». «Cependant, a ajouté M. Hariri, qui s’exprimait lors d’une rencontre avec la presse à Dubaï, les conséquences d’un tel retrait dépendent des progrès qui seront accomplis sur le plan des négociations de paix» entre Israël et la Syrie, puis avec le Liban. Il a par ailleurs jugé «impossible un affrontement entre l’armée libanaise et la Résistance» quoi qu’il arrive. D’autre part, à la question de savoir s’il avait l’intention de revenir au pouvoir, l’ancien Premier ministre a répondu : «Nous avons des élections législatives en août et en fonction de leurs résultats, beaucoup de choses se décideront». M. Hariri a critiqué la politique économique du gouvernement actuel, estimant que «la politique d’austérité a conduit à réduire les recettes de l’État et à augmenter la dette et le déficit».
L’ancien chef de gouvernement Rafic Hariri a affirmé hier que l’État hébreu «ne nous a jamais habitués à faire des cadeaux à quiconque et cela sert son intérêt». «Cependant, a ajouté M. Hariri, qui s’exprimait lors d’une rencontre avec la presse à Dubaï, les conséquences d’un tel retrait dépendent des progrès qui seront accomplis sur le plan des négociations...
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