La prise en otages de près de 200 personnes à bord d’un Boeing 727 afghan s’est achevée hier sans effusion de sang sur l’aéroport londonien de Stansted par la libération de tous les passagers et la reddition des pirates de l’air sans contrepartie, a affirmé la police. En fin de matinée, 19 personnes, «suspectées d’être impliquées d’une manière ou d’une autre» dans le détournement de l’avion, avaient été arrêtées. D’autre part, une soixantaine de personnes qui se trouvaient à bord de l’avion ont déposé une demande d’asile politique en Grande-Bretagne, selon l’agence de presse britannique Press Association (PA) citant des sources gouvernementales. Le ministère de l’Intérieur a refusé de confirmer cette information. Les autorités se sont bornées à dire qu’«aucune garantie n’a été donnée sur aucun sujet» lors des négociations avec les pirates de l’air. Elles ont affirmé rester perplexes sur les motivations de cette prise d’otages. Les ravisseurs n’ont «présenté aucune demande de garantie pour obtenir l’asile politique, et aucune garantie sur l’asile politique ne leur a été donnée», a ajouté un responsable de la police. D’autres arrestations pourraient encore intervenir, car l’interrogatoire des personnes libérées continue.
La prise en otages de près de 200 personnes à bord d’un Boeing 727 afghan s’est achevée hier sans effusion de sang sur l’aéroport londonien de Stansted par la libération de tous les passagers et la reddition des pirates de l’air sans contrepartie, a affirmé la police. En fin de matinée, 19 personnes, «suspectées d’être impliquées d’une manière ou d’une...
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