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Actualités - CHRONOLOGIE

Santé Analyses supplémentaires sur la viande bovine importée d’Europe

 Le Liban exigera à partir du 27 novembre des analyses supplémentaires sur la viande bovine importée d’Europe pour s’assurer de l’absence de cas d’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB), plus connue sous le nom de maladie de la vache folle, soupçonnée d’être à l’origine de cas de Creutzfeldt-Jakob chez l’homme. M. Moustapha Mastoum, chef du département d’import-export au ministère, a précisé hier que «les mesures de surveillance porteront, à partir de lundi, sur la viande bovine importée de tous les pays européens, et non seulement de France». Rappelons que des cas d’ESB décelés dans le cheptel français depuis quelques semaines avaient créé une psychose dans ce pays, où la viande a été interdite dans plusieurs cantines par des maires, avant d’y être rétablie. Par ailleurs, M. Mastoum a nié l’information parue dans des journaux du Nord de la France, qui faisait état d’un «embargo libanais sur la viande française». «Il s’agit de mesures de surveillance et du renforcement des tests en laboratoire sur les échantillons, mais en aucun cas d’embargo», a souligné M. Mastoum. Il a souligné qu’au Liban, avant la multiplication des cas d’ESB, «il était déjà interdit d’importer du bétail vivant âgé de plus de trente mois». Le renforcement des mesures de surveillance intervient alors que la psychose de la vache folle s’étend en Europe.
 Le Liban exigera à partir du 27 novembre des analyses supplémentaires sur la viande bovine importée d’Europe pour s’assurer de l’absence de cas d’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB), plus connue sous le nom de maladie de la vache folle, soupçonnée d’être à l’origine de cas de Creutzfeldt-Jakob chez l’homme. M. Moustapha Mastoum, chef du département...