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Partis Le BN met en garde contre les atteintes aux libertés

Le conseil exécutif du Bloc national a mis en garde contre les atteintes aux libertés au cours de sa réunion hebdomadaire qui s’est tenue hier en présence du Amid du BN, Carlos Eddé, et du secrétaire général du parti, Antoine Klimos. « La liberté fait partie des principales composantes de l’identité libanaise et si l’on y renonce, ce serait comme si l’on renonçait à notre identité », a indiqué le conseil du BN. Il a estimé que « les tentatives du pouvoir de dompter les libertés, notamment la liberté d’information, et de manière sélective, porteront un coup à la richesse de notre pays qui s’exprime par la liberté d’opinion, de pensée et de croyance ». Le conseil exécutif du Bloc national a en outre plaidé en faveur de l’autonomie de la justice, soulignant que « la justice libre, intègre, courageuse et indépendante constitue le dernier rempart pour la défense des valeurs auxquelles le peuple libanais reste attaché ». « Aussi, a-t-il poursuivi, doit-elle s’immuniser contre toute intimidation afin qu’elle puisse réellement s’exprimer au nom du peuple libanais, assumer son rôle de défenseur des intérêts des Libanais et jeter les bases de la lutte contre la corruption et les corrupteurs. » Le conseil du BN a ensuite invité les autorités à « cesser d’avoir recours aux méthodes d’oppression politique contre une partie du peuple afin qu’elles puissent affronter l’ennemi israélien grâce aux rangs serrés des Libanais, dans la bataille qu’ils vont mener pour la récupération de leurs terres et de leur eau spoliées ». Il a également demandé aux Libanais de « prendre garde aux tentatives quotidiennes menées dans le but de semer la discorde, sur le plan confessionnel, dans leurs rangs ».
Le conseil exécutif du Bloc national a mis en garde contre les atteintes aux libertés au cours de sa réunion hebdomadaire qui s’est tenue hier en présence du Amid du BN, Carlos Eddé, et du secrétaire général du parti, Antoine Klimos. « La liberté fait partie des principales composantes de l’identité libanaise et si l’on y renonce, ce serait comme si l’on renonçait...