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Actualités - CHRONOLOGIE

Un membre présumé du Jihad islamique en Palestine se trouverait au Liban

L’enseignant palestinien Mazen Najjar, accusé de liens avec le Jihad islamique en Palestine et expulsé jeudi des États-Unis, se trouve à Beyrouth, selon l’AFP qui cite des proches de sa famille. Ces témoins, qui se sont contentés de confirmer à l’AFP sa présence dans la capitale libanaise en s’abstenant de répondre à tout autre question, ont affirmé que M. Najjar « ne veut pas pour le moment » s’adresser à la presse. Dans une dépêche datée de Londres, le journal arabe à capitaux saoudiens, Asharq al-awsat, citant l’épouse de M. Najjar, a affirmé que l’académicien palestinien, transporté à bord d’un avion spécial du département américain de l’Émigration, s’était vu refuser l’entrée à Bahreïn. Selon elle, son époux a été contraint de rester 25 heures à bord de l’avion à Rome où il avait fait escale, jusqu’à ce que l’équipage se soit rendu compte qu’il avait un visa d’entrée au Liban. L’appareil s’est alors dirigé vers l’aéroport de Beyrouth « sans même refaire le plein ». Des membres de la famille Najjar à Beyrouth, cités par Asharq al-awsat, ont affirmé que l’enseignant palestinien expulsé de l’Université de Floride du Sud entendait quitter Beyrouth dans un délai maximum de 48 heures pour se rendre dans un État africain, sans autre précision. Mazen Najjar avait été arrêté pour la première fois en mai 1997 par les services américains de l’immigration (INS) pour liens présumés avec le Jihad islamique, qui figure sur la liste des organisations terroristes établie par les États-Unis. Il avait été relâché en décembre 2000, avant d’être à nouveau interpellé en novembre 2001.
L’enseignant palestinien Mazen Najjar, accusé de liens avec le Jihad islamique en Palestine et expulsé jeudi des États-Unis, se trouve à Beyrouth, selon l’AFP qui cite des proches de sa famille. Ces témoins, qui se sont contentés de confirmer à l’AFP sa présence dans la capitale libanaise en s’abstenant de répondre à tout autre question, ont affirmé que M. Najjar «...