Actualités - CHRONOLOGIE
Débat - Consternation après les critiques déplacées d’al-Walid Un Hariri rassurant s’adresse à l’Union des banques arabes
le 04 juillet 2002 à 00h00
« La situation n’est pas désespérée. » « Ce sont les médias qui dramatisent les choses. » « La privatisation et la restructuration de la dette sont les deux leviers du redressement économique. » Devant les membres de l’Union des banques arabes, réunis à l’hôtel Phoenicia, le Premier ministre, Rafic Hariri, s’est voulu rassurant, optimiste. Il a évalué à environ 5 milliards de dollars les recettes de la privatisation des grands secteurs comme l’eau, le téléphone fixe et mobile et l’électricité, allant même jusqu’à reprendre les thèses de l’ancien ministre des Finances, Georges Corm, sur la nécessité d’une baisse des taux d’intérêt. À une question sur les critiques que, la veille, lui a adressées le prince saoudien et petit-fils de Riad el-Solh, al-Walid ben Talal, M. Hariri a gardé un silence entendu. Ces propos ont été jugées d’autant plus déplacés qu’ils ont été tenus devant le président de la République. PAGES 2 ET 8
« La situation n’est pas désespérée. » « Ce sont les médias qui dramatisent les choses. » « La privatisation et la restructuration de la dette sont les deux leviers du redressement économique. » Devant les membres de l’Union des banques arabes, réunis à l’hôtel Phoenicia, le Premier ministre, Rafic Hariri, s’est voulu rassurant, optimiste. Il a évalué à environ...
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