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L’incident d’Ouzaï, un « règlement de comptes personnel », estime le BCCN

Le Bureau central de coordination nationale (BCCN, proche du courant aouniste) a estimé que l’exemple du Liban-Sud, où l’État, au lendemain de la libération et sous le prétexte de poursuivre la résistance, s’est désisté de ses responsabilités « en faveur des forces de facto », continue de faire tâche d’huile du fait de la pusillanimité des responsables pour s’étendre à d’autres régions du Liban qui « n’ont rien de commun avec la résistance ou la libération ». L’incident d’Ouzaï, poursuit le BCCN dans un communiqué publié hier, « ne constitue en fait qu’une exploitation politique des sacrifices consentis par la résistance, un règlement de comptes personnel et la preuve flagrante de la chute du slogan de l’État de droit et des institutions ». Le communiqué, qui critique ceux qui essaient d’établir un parallèle entre Ouzaï et l’élection partielle du Metn au niveau de la non-intervention des agents de l’ordre, constate que ces derniers n’ont jamais manqué de sévir brutalement contre « les étudiants et les intellectuels souverainistes qui militent en faveur de l’indépendance et de la libre décision du Liban ».
Le Bureau central de coordination nationale (BCCN, proche du courant aouniste) a estimé que l’exemple du Liban-Sud, où l’État, au lendemain de la libération et sous le prétexte de poursuivre la résistance, s’est désisté de ses responsabilités « en faveur des forces de facto », continue de faire tâche d’huile du fait de la pusillanimité des responsables pour...