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Actualités - OPINION

Tribune L’événement, c’est la joue tendue par le « Père Grégoire »

On a beaucoup parlé de la joue qui a été frappée, moi c’est de l’autre que je voudrais parler, de celle qui a été « tendue » par le « Père Grégoire ». L’« événement » est surtout la joue « tendue ». Il est diffile de tendre sa joue. C’est de la parole de la joue tendue que nous avons besoin. C’est d’elle que nous avons à apprendre. Cette parole qui nous apprend que les « forts sont doux », et ce que signifient la force et la douceur. Les forts sont également simples et audacieux. Dans ce cas, ils ont l’audace de revenir à la parole exigeante du Christ et de la dire par des mots, par des actes. Cette parole, qui dit des choses évidentes et difficiles, dérange bien sûr, car elle est porteuse d’un projet exigeant, d’un projet de vie et de société. « Dieu existe, je l’ai rencontré », dit le titre d’un livre. Grégoire Haddad est l’un de ceux qui nous L’ont fait rencontrer. L’un des rares qui nous L’ont fait rencontrer. Et cette rencontre a modifié nos vies. Elle nous a appris à « élever nos cœurs », à participer par notre façon d’être, par nos actions, à ce que son « règne vienne ». C’est-à-dire un « règne » où les droits de l’homme sont respectés. Les droits de « tout homme », de « tout l’homme », comme dit le Père Grégoire. Elle nous a appris, comme dit le Christ, à aller « en eau profonde et à jeter là nos filets », à essayer en « vérité en vérité » d’aimer le « prochain », de ne pas juger. Ces mots, par son témoignage, devenaient des paroles. Les forts sont aussi modestes et drôles et légers, car les forts sont dégagés de la prétention, du désir de pouvoir, des intérêts personnels et autres sources de lourdeur. Les forts surtout ne savent pas qu’ils sont tout cela. On a beaucoup parlé de la joue qui a été frappée, moi c’est de l’autre que je voudrais parler, de celle qui a été « tendue » par le « Père Grégoire ». L’« événement » est surtout la joue « tendue ». Il est diffile de tendre sa joue. C’est de la parole de la joue tendue que nous avons besoin. C’est d’elle que nous avons à apprendre. Cette parole qui nous apprend que les « forts sont doux », et ce que signifient la force et la douceur. Les forts sont également simples et audacieux. Dans ce cas, ils ont l’audace de revenir à la parole exigeante du Christ et de la dire par des mots, par des actes. Cette parole, qui dit des choses évidentes et difficiles, dérange bien sûr, car elle est porteuse d’un projet exigeant, d’un projet de vie et de société. « Dieu existe, je l’ai rencontré », dit le titre d’un livre. Grégoire Haddad est l’un de ceux qui nous L’ont fait rencontrer. L’un des rares qui nous L’ont fait rencontrer. Et cette rencontre a modifié nos vies. Elle nous a appris à « élever nos cœurs », à participer par notre façon d’être, par nos actions, à ce que son « règne vienne ». C’est-à-dire un « règne » où les droits de l’homme sont respectés. Les droits de « tout homme », de « tout l’homme », comme dit le Père Grégoire. Elle nous a appris, comme dit le Christ, à aller « en eau profonde et à jeter là nos filets », à essayer en « vérité en vérité » d’aimer le « prochain », de ne pas juger. Ces mots, par son témoignage, devenaient des paroles. Les forts sont aussi modestes et drôles et légers, car les forts sont dégagés de la prétention, du désir de pouvoir, des intérêts personnels et autres sources de lourdeur. Les forts surtout ne savent pas qu’ils sont tout cela. Nada MOGHAIZEL NASR On a beaucoup parlé de la joue qui a été frappée, moi c’est de l’autre que je voudrais parler, de celle qui a été « tendue » par le « Père Grégoire ». L’« événement » est surtout la joue « tendue ». Il est diffile de tendre sa joue. C’est de la parole de la joue tendue que nous avons besoin. C’est d’elle que nous avons à apprendre. Cette parole qui nous apprend que les « forts sont doux », et ce que signifient la force et la douceur. Les forts sont également simples et audacieux. Dans ce cas, ils ont l’audace de revenir à la parole exigeante du Christ et de la dire par des mots, par des actes. Cette parole, qui dit des choses évidentes et difficiles, dérange bien sûr, car elle est porteuse d’un projet exigeant, d’un projet de vie et de société. « Dieu existe, je l’ai rencontré », dit le titre d’un livre. Grégoire Haddad est l’un de ceux qui nous L’ont fait rencontrer. L’un des rares qui nous L’ont fait rencontrer. Et cette rencontre a modifié nos vies. Elle nous a appris à « élever nos cœurs », à participer par notre façon d’être, par nos actions, à ce que son « règne vienne ». C’est-à-dire un « règne » où les droits de l’homme sont respectés. Les droits de « tout homme », de « tout l’homme », comme dit le Père Grégoire. Elle nous a appris, comme dit le Christ, à aller « en eau profonde et à jeter là nos filets », à essayer en « vérité en vérité » d’aimer le « prochain », de ne pas juger. Ces mots, par son témoignage, devenaient des paroles. Les forts sont aussi modestes et drôles et légers, car les forts sont dégagés de la prétention, du désir de pouvoir, des intérêts personnels et autres sources de lourdeur. Les forts surtout ne savent pas qu’ils sont tout cela. Nada MOGHAIZEL NASR
On a beaucoup parlé de la joue qui a été frappée, moi c’est de l’autre que je voudrais parler, de celle qui a été « tendue » par le « Père Grégoire ». L’« événement » est surtout la joue « tendue ». Il est diffile de tendre sa joue. C’est de la parole de la joue tendue que nous avons besoin. C’est d’elle que nous avons à apprendre. Cette parole qui nous...