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Actualités - CHRONOLOGIE

Cellulaire Un vote dans la souffrance au Parlement

Les contacts se sont intensifiés à la veille de la réunion parlementaire pour déblayer la voie devant le vote du projet de loi sur la privatisation du secteur de la téléphonie mobile qui – en dépit du climat consensuel qui a fini, bon gré mal gré, par entourer son élaboration – continue de susciter de nombreuses réserves. Et il ne s’agit pas seulement de réserves parlementaires. Pendant que le président de la Chambre, Nabih Berry, tentait de s’assurer du bien-fondé de la remarque de M. Hussein Husseini, sur un point constitutionnel – le Parlement ne peut pas autoriser l’Exécutif à accorder des permis pour privatiser des services publics mais doit voter des lois en ce sens –, le chef du gouvernement multipliait les contacts à son tour. De sources politiques informées, on indique que M. Hariri souhaite l’abrogation de l’article stipulant que si, pour une raison quelconque, l’appel d’offres n’était pas couronné de succès, c’est l’État qui gèrera à partir du 31/8/2002 le réseau GSM. De mêmes sources, on indique que la clause pénale que M. Hariri désire inclure au texte de loi a été aussi au centre des contacts entrepris, dans la mesure où certaines voix se sont élevées contre ce texte jugé anticonstitutionnel. Page 2
Les contacts se sont intensifiés à la veille de la réunion parlementaire pour déblayer la voie devant le vote du projet de loi sur la privatisation du secteur de la téléphonie mobile qui – en dépit du climat consensuel qui a fini, bon gré mal gré, par entourer son élaboration – continue de susciter de nombreuses réserves. Et il ne s’agit pas seulement de réserves...