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Diplomatie Mise au point de l’ambassade de Russie
le 26 février 2002 à 00h00
Suite à une information parue dans notre édition du 18 février, selon laquelle Moscou aurait transmis aux autorités libanaises une mise en garde israélienne par le biais de l’émissaire russe au Proche-Orient Andréï Vdovine, l’ambassade de Russie à Beyrouth nous a fait parvenir une mise au point dans laquelle elle souligne que Moscou a eu effectivement des contacts «avec les parties concernées pour contribuer à juguler l’escalade entre le Liban et Israël, mais que M. Vdovine n’a pas contacté la partie libanaise et n’a pas transmis de menace à la demande d’Israël». Ndlr : dans l’information que nous avions rapportée dans notre édition du 18 février, nous avions souligné que le palais Bustros avait reçu des «rapports diplomatiques» portant sur une mise en garde transmise à M. Vdovine par les responsables israéliens. Nous n’avions nullement indiqué que M. Vdovine avait rapporté lui-même cette mise en garde israélienne ou une quelconque menace au pouvoir libanais.
Suite à une information parue dans notre édition du 18 février, selon laquelle Moscou aurait transmis aux autorités libanaises une mise en garde israélienne par le biais de l’émissaire russe au Proche-Orient Andréï Vdovine, l’ambassade de Russie à Beyrouth nous a fait parvenir une mise au point dans laquelle elle souligne que Moscou a eu effectivement des contacts «avec...
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