Soirée d’ouverture en grande pompe, hier, du 9e Festival d’al-Bustan, avec l’Orchestre de chambre de Prague. Mélomanes, amis et fervents adeptes de cette saisonnière manifestation culturelle se sont retrouvés une fois de plus à l’Auditorium Émile Boustany à Beit-Méry. Un moment de pur bonheur, transparent comme du cristal de Bohême, avec une musique, toute en douceur et élégance, teintée d’une certaine sève folklorique. Au menu, des pages frémissantes de vie, de sensibilité et grâce de Benda, Martinu, Kukal, Mozart et Dvorak. De «Praha», dominée par ce château qui a dû faire rêver Kafka, aux forêts les plus profondes de la Moravie, les mélodies se sont succédé, insaisissables et fluides, comme un reflet ondoyant des flots de la Vltava.
Soirée d’ouverture en grande pompe, hier, du 9e Festival d’al-Bustan, avec l’Orchestre de chambre de Prague. Mélomanes, amis et fervents adeptes de cette saisonnière manifestation culturelle se sont retrouvés une fois de plus à l’Auditorium Émile Boustany à Beit-Méry. Un moment de pur bonheur, transparent comme du cristal de Bohême, avec une musique, toute en douceur...
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