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Pnud - Bilan d’une décennie d’efforts au service du développement durable et de protection de l’environnement Chantier de travail local en vue du sommet de la Terre de Johannesburg

Les ministères des Affaires étrangères et de l’Environnement, en coopération avec le Programme de développement des Nations unies (Pnud), ont organisé hier, au siège de l’Escwa, une réunion préparatoire à la nouvelle édition du sommet de la Terre qui se tient à Johannesburg, en septembre. La réunion est le coup d’envoi d’un chantier de travail destiné à faire le point de ce qui a été réalisé au Liban, en terme de développement humain durable et de protection de l’environnement, depuis le sommet de la Terre de Rio de 1992. La réunion s’est tenue en présence du ministre de l’Environnement, Michel Moussa, du directeur des organisations internationales, congrès et relations culturelles au ministère des Affaires étrangères, Antoine Chédid, du représentant résident du Pnud au Liban, Yves de San, du directeur du ministère de l’Environnement, Berje Hatjian, et de représentants d’associations civiles, d’ONG et d’organismes sociaux ainsi que d’experts. Dans un mot inaugural, le ministre de l’Environnement a indiqué que les participants au chantier de travail ont été répartis en trois groupes, afin de faciliter l’établissement d’un bilan cohérent. Un double partenariat Ces trois groupes s’occupent des chapitres suivants : environnement humain, environnement naturel, législation et institutions. Leurs rapports constitueront le noyau du rapport national global qui sera soumis au sommet de Johannesburg. M. Moussa a rappelé que les Nations unies aspirent à l’établissement d’une sorte de partenariat planétaire entre pays industrialisés et pays en voie de développement, d’une part, ainsi qu’à favoriser la coordination entre les États et les différents secteurs de la société civile. Le développement, a-t-il ajouté en substance, n’est plus perçu aujourd’hui sous un angle purement économique, mais tend à la satisfaction de tous les besoins essentiels de l’homme, et s’inscrit nécessairement dans le cadre de la protection de l’environnement. Malgré toutes les difficultés, a conclu M. Moussa, le Liban est parvenu à progresser dans le domaine du développement durable, que ce soit au niveau officiel ou à celui des associations civiles. Pour sa part, le représentant du ministère des Affaires étrangères, Antoine Chédid, a rappelé que le palais Bustros, en accord avec le ministère de l’Environnement et le Pnud, est officiellement chargé de la coordination du travail des groupes. La «volonté politique» de répondre aux efforts de la communauté internationale pour conforter des politiques de développement durable existe, a dit M. Chédid. En un sens, le fait même que des ministères existent pour l’Environnement, les Affaires sociales et la Réforme administrative prouve que le Liban est sérieusement engagé dans la promotion du développement durable et le respect de l’environnement.
Les ministères des Affaires étrangères et de l’Environnement, en coopération avec le Programme de développement des Nations unies (Pnud), ont organisé hier, au siège de l’Escwa, une réunion préparatoire à la nouvelle édition du sommet de la Terre qui se tient à Johannesburg, en septembre. La réunion est le coup d’envoi d’un chantier de travail destiné à faire le...