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Actualités - CHRONOLOGIES

Palais Bustros - La succession de Hamdane - pose problème

Le ministre des Affaires étrangères, Mahmoud Hammoud, a mis au point la première partie du train de nominations portant sur la nomination au poste de consul général de Najla Riachi, Ahmed Chmat, Ghattas Hakim, Charbel Wehbé, Rami Mourtada, Mohammed Skayné, Ali Daher et Nidal Yehia à Istanbul, Djeddah, Melbourne, Los Angeles, New York, Detroit, Rio de Janeiro et Sidney, respectivement. Il est à noter que les nouveaux consuls généraux occupaient auparavant les postes de conseillers diplomatiques et de secrétaires d’ambassade, ce qui rend nécessaire la promulgation d’un décret approuvé par le président de la République pour les premiers. Pour les seconds, une simple décision ministérielle demeure suffisante. Le second train de nominations servira à pourvoir aux postes vacants de conseillers et de secrétaires d’ambassade dans les différentes ambassades et à l’administration centrale. Les postes à pourvoir dans le second train de nominations couvrent également ceux des ambassadeurs à Rome et à l’Unesco, rendus vacants par la mise à la retraite de leurs titulaires qui ont atteint la limite d’âge. D’autres postes d’ambassadeurs seront vacants du fait de l’expiration du délai de service à l’étranger des ambassadeurs au Brésil, en Libye, en Pologne, en Algérie et en Yougoslavie. Un autre poste sera vacant le 13 janvier prochain, avec la mise à la retraite du secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, Zouheir Hamdane, qui aura alors atteint la limite d’âge prescrite par la loi. Le pourvoi au poste de secrétaire général promet d’être difficile, surtout en l’absence d’une entente entre les première et troisième magistratures. D’autant plus que la candidature à ce poste du juge Khaled Kabbani, membre du conseil supérieur de la magistrature, a été à l’origine d’un tollé soulevé par sa non-appartenance au cadre du ministère et que trois ambassadeurs sunnites, MM. Hicham Dimachkié, Sami Kronfol et Mohammed Issa, pourraient être nommés à ce poste. Des sources généralement bien informées citées par notre correspondant diplomatique Khalil Fleyhan ont révélé à ce sujet l’existence de plusieurs interventions qui ont eu lieu auprès de plus d’un responsable, dans le dessein de tenir le poste de secrétaire général des Affaires étrangères à l’écart de la politique et de le confier à l’ambassadeur le plus apte à le gérer. Les mêmes sources se sont demandé quel obstacle s’oppose à la nomination de M. Naji Abi Assi, l’actuel directeur aux Affaires politiques, à ce poste, qui reviendrait ainsi, à tour de rôle, aux trois communautés les plus importantes du pays, après Zafer el-Hassan et Zouheir Hamdane, surtout si aucun consensus n’était atteint autour de la nomination de l’un des trois ambassadeurs sunnites.
Le ministre des Affaires étrangères, Mahmoud Hammoud, a mis au point la première partie du train de nominations portant sur la nomination au poste de consul général de Najla Riachi, Ahmed Chmat, Ghattas Hakim, Charbel Wehbé, Rami Mourtada, Mohammed Skayné, Ali Daher et Nidal Yehia à Istanbul, Djeddah, Melbourne, Los Angeles, New York, Detroit, Rio de Janeiro et Sidney,...