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Actualités - REPORTAGES

Projet d’adduction des eaux - supplémentaires des deux sources de Jeïta et Kashkoush (Projet Nahr el-Kalb)

L’augmentation en période de crue des ressources d’eau passe de 255 mille à 500 mille mètres cubes/jour. Ses composantes : 1 - Le percement d’un tunnel de longueur 4,5 kms entre la source de Jeïta et l’usine de Dbayeh pour l’adduction de la quantité d’eau voulue. 2 - L’exécution, à des prix réduits, des quelques travaux d’entretien et de réparations nécessaires sur le tunnel et le canal actuels, après exécution du tunnel proposé, et cela dans le but d’avoir un moyen d’adduction de réserve de l’eau brute des deux sources de Jeïta et Kashkoush vers Dbayeh, vu que ces ouvrages ne peuvent être réparés avant l’exécution d’un nouveau tunnel, dans le but d’empêcher l’arrêt de l’eau à la capitale durant de longues périodes pendant l’entretien et les réparations mentionnées. De plus, il a été ajouté au projet d’adduction d’eau supplémentaire de Jeïta et Kashkoush, devenu le projet de Nahr el-Kalb, les éléments complémentaires suivants : – Le remplacement de la conduite de diamètre 600 mm posée entre Dbayeh et Jdeideh par une autre conduite télescopique de diamètre 800/700 mm d’une longueur de 7 kms. – La pose d’une conduite de diamètre 1 400 mm fonctionnant dans les deux sens entre Dbayeh et la galerie Semaan, d’une longueur de 14,5 kms. – La réhabilitation des réservoirs de Tallet Khayat et du barrage de déviation de la grotte de Jeïta à la côte 60 m. Ses buts : 1 - Augmenter l’adduction des eaux brutes provenant des deux sources de Jeïta et Kashkoush vers l’usine de Dbayeh de 255 mille à 500 mille mètres cubes par jour en hiver. 2 - Substituer les anciens tunnel et canal d’adduction, dont l’âge est de 130 ans et qui sont sujets à éboulements, par une nouvelle adduction, au moyen d’un tunnel long de 4,5 kms entre la source de Jeïta et l’usine de Dbayeh, ayant la possibilité d’écouler les quantités d’eau existantes en période de crue, et par là éloigner le danger d’arrêt de l’eau à la capitale pour une longue période dans le cas d’accident subit sur le canal ou les tunnel actuels. 3 - Limiter le danger de pollution dû à la présence d’immeubles d’habitation aux bords du canal actuel, à la présence de fosses septiques, au répandage et à l’aspersion des insecticides et herbicides dans les terrains contigus et empêcher aussi les vols et profits illégaux de l’eau. 4 - Assurer la recharge naturelle en eau des nappes phréatiques exploitées actuellement durant la période des crues, et par là arrêter les forages en exploitation durant cette période, ce qui permettra leur remplissage et l’augmentation des débits durant la saison sèche et la non-exposition à la pollution et à la salinité du fait de son grand emploi comme prévu. Les coûts estimés et le temps d’exécution : Les coûts du projet ont été estimés d’après l’étude menée par l’Office en coordination avec la société canadienne SNC-Lavalin à environ 128 960 000 dollars. Observation : Une partie du projet est exécutée actuellement par le biais du Conseil du développement et de la reconstruction à travers l’exécution de l’autoroute entre Dbayeh et Antélias. Cela diminue le montant déterminé plus haut, comme il peut d’ailleurs être diminué aussi par la suppression et la remise à plus tard de quelques travaux, ainsi que la modification de la qualité des matériaux et par là diminuer le temps d’exécution. Temps d’exécution : 30 mois à partir du début des travaux. Source : Office des Eaux de Beyrouth – Rizk Freiha – Octobre
L’augmentation en période de crue des ressources d’eau passe de 255 mille à 500 mille mètres cubes/jour. Ses composantes : 1 - Le percement d’un tunnel de longueur 4,5 kms entre la source de Jeïta et l’usine de Dbayeh pour l’adduction de la quantité d’eau voulue. 2 - L’exécution, à des prix réduits, des quelques travaux d’entretien et de réparations...