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Communautés - Sfeir : l’Église ne peut rester - les bras croisés devant l’avenir - incertain de ses fils
le 28 juin 2001 à 00h00
Le patriarche maronite Mgr Nasrallah Sfeir a assuré que «nous souffrons toujours des séquelles de la catastrophe que nous avons subie», et estimé qu’«il est du devoir de la société civile d’aider l’État quand ce dernier se trouve dans l’impossibilité d’assumer ses responsabilités vis-à-vis de ses fils». Pour Mgr Sfeir, «l’Église ne peut rester les bras croisés devant l’avenir incertain de ses fils, surtout les jeunes d’entre eux». «Si nous souffrons toujours des séquelles de la catastrophe qui nous a frappés et que l’État se trouve dans l’impossibilité d’assumer ses responsabilités, la société civile se doit d’aider l’État dans sa tâche. À travers l’histoire, la société civile a toujours sauvé les institutions gouvernementales quand elles étaient gangrenées par la corruption», a déclaré Mgr Sfeir à une réunion de la Fondation sociale maronite, une association dédiée à l’assistance sociale et à la construction d’appartements à prix modérés et financés à long terme au profit de jeunes couples ne possédant pas les moyens financiers suffisants pour fonder un foyer. «C’est ce qui nous incite à persévérer dans notre tâche commune, car l’Église ne peut demeurer les bras croisés devant l’avenir incertain de ses fils, surtout les jeunes d’entre eux», a-t-il conclu.
Le patriarche maronite Mgr Nasrallah Sfeir a assuré que «nous souffrons toujours des séquelles de la catastrophe que nous avons subie», et estimé qu’«il est du devoir de la société civile d’aider l’État quand ce dernier se trouve dans l’impossibilité d’assumer ses responsabilités vis-à-vis de ses fils». Pour Mgr Sfeir, «l’Église ne peut rester les bras...
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