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Actualités - CHRONOLOGIES

ENVIRONNEMENT - Recommandations des réunions à l’Escwa

Les aspects économiques et sociaux d’un développement durable, la bonne gestion environnementale, les ressources hydrauliques, l’énergie, l’industrie et le traitement des déchets, la dégradation des sols, l’environnement marin, le commerce et l’environnement… Les organisateurs des deux réunions majeures sur l’écologie qui ont eu lieu du 9 au 13 avril à la Maison des Nations unies à Beyrouth s’étaient fixés un programme ambitieux. Les recommandations de ces séminaires viennent d’être rendues publiques. Ces réunions se sont déroulées sous le patronage du ministre de l’Environnement, Michel Moussa. L’une de ces rencontres était axée sur les préparatifs des pays de l’Escwa au second Sommet de la Terre (Rio+10), prévu pour la seconde moitié de 2002 à Johannesbourg. Durant cette rencontre, une coordination s’est établie entre l’Escwa, le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE), le secrétariat technique du Conseil des ministres arabes responsables des affaires environnementales et le Département des affaires économiques et sociales des Nations unies à New York. En marge de la table ronde, un débat autour des politiques sur les études d’impact environnemental dans les pays de l’Escwa a été ouvert. Les recommandations aux pays membres de l’Escwa sont les suivantes : – promouvoir les études d’impact environnemental relatifs aux projets, au sein des institutions publiques ; – encourager la pression populaire destinée à pousser les entrepreneurs à respecter les règles écologiques ; – déployer des efforts accrus pour propager les informations écologiques nécessaires pour les études d’impact ; – considérer les programmes éducatifs comme un outil important dans la formation des directeurs et des travailleurs dans des institutions écologiques ; – assurer un minimum d’homogénéité dans les politiques d’estimation de l’impact environnemental. Les recommandations faites à l’intention de l’Escwa (en coopération avec des organisations régionales) sont les suivantes : – renforcer les capacités institutionnelles et humaines des pays membres pour mener à bien les études d’impact ; – trouver, avec les pays membres, les moyens de faire participer le public aux études d’impact ; – organiser des séminaires et des rencontres d’experts dans le but de créer un climat de confiance entre les pays pour une plus grande homogénéité des politiques environnementales .
Les aspects économiques et sociaux d’un développement durable, la bonne gestion environnementale, les ressources hydrauliques, l’énergie, l’industrie et le traitement des déchets, la dégradation des sols, l’environnement marin, le commerce et l’environnement… Les organisateurs des deux réunions majeures sur l’écologie qui ont eu lieu du 9 au 13 avril à la Maison...