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Actualités - COMMUNICATIONS ET DECLARATIONS

Vie politique - Aoun : « L’infirmière, le patient et… l’union nationale »

«Le comportement du régime syrien avec le Liban ressemble à un film policier dans lequel l’infirmière chargée du malade administre à ce dernier de légères doses de poison au lieu du médicament prescrit. Soit le patient meurt et l’infirmière s’en tire, soit il réalise à temps qu’il dépérit et renvoie l’infirmière criminelle», a affirmé l’ancien Premier ministre Michel Aoun. «À présent, les Libanais ont réalisé qu’un quart de siècle durant, la Syrie avait tenté d’empoisonner leurs relations et préparait un massacre collectif en prélude à leur enterrement. Le massacre a en fait déjà débuté avec l’assassinat de l’économie et de la libre décision libanaises», a-t-il ajouté. Dans une déclaration faite hier, l’ancien chef de gouvernement a assuré que «tous les Libanais sont désormais convaincus de la nécessité d’une réconciliation nationale que le régime syrien ne cesse de promettre depuis onze ans alors qu’il ne cherche, en fait, qu’à la saborder, semant discorde et zizanie et entravant tout dialogue national». Pour le général Aoun, «seul un dialogue responsable et sincère est susceptible de corriger les erreurs du passé et de mettre un terme à l’éternelle excuse invoquée par la Syrie pour justifier le maintien de sa présence au Liban». «Seule une rencontre nationale nous permettra de récupérer ce que la division nous a fait perdre. Les circonstances sont nombreuses et la volonté évidente. Entamons le dialogue et que chacun donne le meilleur de lui-même au Liban (…). Précisez l’heure et le lieu : nous serons au rendez-vous», a conclu le général Aoun.
«Le comportement du régime syrien avec le Liban ressemble à un film policier dans lequel l’infirmière chargée du malade administre à ce dernier de légères doses de poison au lieu du médicament prescrit. Soit le patient meurt et l’infirmière s’en tire, soit il réalise à temps qu’il dépérit et renvoie l’infirmière criminelle», a affirmé l’ancien Premier...