Actualités - CHRONOLOGIES
Vie syndicale - Contestation de la légalité des élections du 15 mars
le 22 mars 2001 à 00h00
Dix responsables syndicaux, dont des membres du bureau exécutif sortant de la CGTL, ont présenté au ministère du Travail une note contestant la légalité des élections du 15 mars qui ont conduit au remplacement de l’ancien président de la centrale Élias Abou Rizk par M. Ghassan Ghosn et demandant leur annulation. Les signataires de la note sont Abdel Amir Najdé (syndicat des chauffeurs de taxis), Ali Mohieddine, Yasser Nehmé (typographes), Halim Matar, Mersel Mersel, Fakhri Zhoud, Sleiman Hamdane, Castro Abdallah, Tanios Andraos et Kamel Chouceir. La note de contestation affirme que la décision du ministère du Travail datée du 1er mars approuvant la tenue des élections du bureau exécutif de la CGTL est illégale et contraire aux statuts de la centrale. «Cet appel a émané de parties qui n’ont ni qualité ni compétence, ce qui constitue une infraction à l’article 22 des statuts de la centrale». Par ailleurs, la qualité de membre du bureau de la CGTL ne tombe que dans trois cas : le décès, l’absence injustifiée et la démission, font valoir les responsables syndicaux, des critères qui ne s’appliquent pas à M. Abou Rizk. Enfin, la note considère comme une «ingérence inadmissible» du ministère du Travail le fait qu’il ait approuvé la convocation à des élections émanant d’un groupe de syndicalistes, même si ce groupe représente, en nombre, les deux tiers des membres du conseil exécutif de 74 membres de la CGTL.
Dix responsables syndicaux, dont des membres du bureau exécutif sortant de la CGTL, ont présenté au ministère du Travail une note contestant la légalité des élections du 15 mars qui ont conduit au remplacement de l’ancien président de la centrale Élias Abou Rizk par M. Ghassan Ghosn et demandant leur annulation. Les signataires de la note sont Abdel Amir Najdé (syndicat...
Les plus commentés
Le professeur en pédiatrie Robert Sacy emporté par une crise cardiaque
La comédienne Shaden Fakih accusée de « blasphème » par Dar el-Fatwa
Oui, non, peut-être ? Comment le Liban a répondu à la feuille de route française